Depuis l’élection de Macron, une vague de critiques s’est élevée contre lui, portée par des intellectuels, activistes, journalistes et humoristes. Découvrez cette liste de personnalités en hommage au mouvement #JeNeSuisPasSuicidaire, qui ont osé défier le pouvoir en place.
Depuis le début de l’année 2025, une série de drames a bouleversé la France, touchant à la fois les fonctionnaires de la Direction générale des finances publiques (DGFiP) et des figures politiques de premier plan.
Ces dernières années, un phénomène préoccupant a émergé dans le paysage politique français : de plus en plus de politiciens bloquent les commentaires sur leurs publications et déclarations publiques, empêchant ainsi les citoyens de s’exprimer.
Nous sommes la génération Y, nommée de la forme de nos écouteurs. Génération Y. La chose est entendue. Une génération internet et écouteurs. A-t-on déjà autant schématisé une génération ? rabaissé à une technologie. A-t-on déjà entendu parler de la génération locomotive ? Télévision ? Voiture ? Une génération n’est que la fille de la précédente. Et les baby boomers sont toujours aussi peu enclin à prendre leur part de responsabilité dans notre époque. Notre génération n’est pas une lettre de l’alphabet. Elle est une génération post révolution culturelle. Et comme toutes ces générations, elle est paradoxale et schizophrénique. Et pas Y. Chaque génération apprend son rapport au monde par mimétisme du foyer pendant l’enfance, puis s’éduque intellectuellement par opposition dans sa jeunesse. Deux messages antinomiques mais de deux sources différentes qui forment l’adulte. Un message sécuritaire et réactionnaire que l’adulte réappréciera plus tard. Un message contestataire et innovant qui permettra à la société d’évoluer.
Mais pas nous. Non. Nos chers parents ont, comme tout le monde, reproduit le schéma archaïque de leur propres parents, tout en nous tenant des propos libertaires. Comme toutes les générations post révolution culturelle, nos messages antinomiques avaient une source unique. D’où une légère schizophrénie. Très légère. Trois fois rien. Multiplication des partenaires, des emplois, des lieux de vies, instabilité,… Jetez un oeil sur la culture populaire. Des séries (True Blood, Walking Dead, Breaking Bad, Lost, Sopranos, Dexter…), les icônes de la chanson (Lady Gaga, même Michael Jackson…), tout crie sa schizophrénie, l’identité multiple.
Que fait une personne née en prison qui découvre la liberté ? Elle flippe. « Savoir se libérer n’est rien, c’est savoir être libre l’ardu ». Que Voltaire avait raison. Élevés dans un cadre strict mais emprunt des grandes valeurs de liberté et d’aventures, les baby boomers nous ont inculqué le devoir d’aventure, mais nous en ont effrayé. « Va découvrir le monde ! Mais fais attention, le danger est partout ». Une génération accroc à la liberté à l’aventure mais effrayée, et donc culpabilisant d’être pusillanime. Que dit la culture populaire. Elle vous dit que les deux succès majeurs cinématographiques des années 2000, le Seigneur des Anneaux et Matrix sont l’histoire de personnage à qui l’ont impose une liberté et une aventure qui les effraient. Nous sommes la génération paradoxes. La génération schizophrène. Nous sommes les enfants de la génération la plus irresponsable du 20ème siècle. Génération Y mon cul. Le walkman existe depuis 35 ans. Et si nous avons toujours les écouteurs sur les oreilles, c’est parce que trop de voix, trop de personnalités, trop d’identités, raisonnent déjà dans nos têtes, pour qu’en plus on écoute des bêtises.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Le New York Times a dévoilé le 27 juin 2025 son classement des 100 meilleurs films du 21e siècle, une initiative ambitieuse visant à célébrer les œuvres cinématographiques qui ont marqué les 25 premières années de ce millénaire.
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
Il est des cinéastes dont le talent devrait crever l’écran, transcender les frontières et secouer les âmes, mais qui, par une aberration totale, restent dans l’ombre. Shinji Sōmai, ce maître japonais, en est l’exemple criant.
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