La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
On aimerait, parfois, être une petite souris dans les classes de Gabriel Pardon, parce qu’un enseignant qui décrit son amour de l’art comme un amour de « la bande dessinée, enfant déjà, ce monde de bulles et de successions d’images me faisait rêver », doit forcément être un professeur passionnant, jamais complètement départi de la magie des premiers regards. Et en même temps, dans ce trait de fusain, et surtout, cette façon de chercher une mise en scène, un angle, comme s’il posait une caméra, on ressent bien l’influence de l’auteur de BD moderne, comme un Enki Bilal ou un Didier Tarquin. Le lecteur contemporain de bande-dessinée est à la recherche d’un univers dans la narration et d’une planche approchant le storyboard pour l’esthétique. Il suffit de jeter un œil à ses planches de western pour se plonger dans une scène inaugurale d’un Sergio Leone. Mais il faut fouiller encore plus en avant de son travail pour découvrir la diversité de ses univers. Si un style est unique, un rêve est multiple, polymorphe, schizophrène, comme un humain, comme le talent.
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.