Oh, quelle surprise ! La France, fier bastion de la liberté, se retrouve en première ligne d’une guerre numérique menée par le grand méchant Kremlin, et devinez quoi ?
Nos institutions ressemblent à une tour de Babel version cirque ambulant – un joyeux bazar où tout le monde parle fort, personne ne s’écoute, et le seul spectacle digne d’intérêt, c’est le chaos !
Cellule diplomatique de l’Élysée, Matignon, Quai d’Orsay, ministère des Armées, services de renseignement : une dream team censée nous sauver des fake news russes… ou du moins essayer, entre deux ego démesurés et une coordination digne d’une pièce de théâtre amateur.
Rendez-vous dans la salle sourde, ce sanctuaire high-tech où, tous les mercredis soir, une poignée de hauts fonctionnaires bardés de secrets-défense se retrouvent au Quai d’Orsay.
Téléphones confisqués à l’entrée, cage de Faraday pour bloquer les ondes (et les espions russes qui rêvent de percer les mystères du passé trouble de Brigitte et Emmanuel Macron – oui, on y revient !), ces génies s’enferment pour concocter une riposte héroïque.
Autour de la table ? Le directeur de cabinet du ministre des Affaires étrangères, son compère des Armées flanqué d’un chef d’état-major guindé, des conseillers diplo de l’Élysée et de Matignon, plus une brochette d’espions et contre-espions.
Et bien sûr, le patron du SGDSN, escorté de son acolyte de Viginum, le super-héros anti-fake news. Bienvenue dans le grand show de la guerre informationnelle à la française – popcorn inclus !
Mais soyons sérieux deux minutes (ou pas) : le Kremlin s’en donne à cœur joie ! Punaises de lit transformées en complots internationaux, rumeurs amplifiées sur Twitter, et une pluie de désinformation qui fait passer nos élections de 2025 pour un terrain de jeu russe.
L’Union européenne compte plus de 5 500 cas de propagande pro-Kremlin depuis 2015, et nous, on répond par des réunions où chacun tire la couverture à soi. Pathétique !
Macron, avec ses beaux discours depuis 2017, a bien tenté de jouer les chefs d’orchestre avec le CNRLT et Viginum, mais franchement, on dirait un maestro face à une fanfare ivre.
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