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Enquête sur les scandales sexuels qui gangrènent nos élus sous l'ère Macron

Depuis l'élection d'Emmanuel Macron en 2017, la Ve République s'est parée d'un vernis de renouveau : éthique, transparence, moralisation de la vie publique. La loi Sapin II, votée en urgence, promettait de traquer les conflits d'intérêts et les dérives. Tour d'horizon.

Enquête sur les scandales sexuels qui gangrènent nos élus sous l'ère Macron

Dans les couloirs feutrés de l'Assemblée nationale, au cœur des mairies de province ou dans les travées du Sénat, on murmure depuis des mois. Les citoyens, eux, crient leur effroi.

Combien d'enfants violés, de mineurs exploités, de soirées débridées sous l'emprise de drogues pour masquer les pires pulsions ?

Les affaires se multiplient, presque hebdomadaires, comme un poison lent qui ronge la confiance en nos représentants.

La presse, souvent complice d'un voile pudique, enterre ces histoires sous des titres lénifiants. Mais les faits sont là, têtus, accablants.

GHB, cocaïne et chemsex : Enquête sur les dérives toxiques de l’élite macronienne
Snif, snif, le pouvoir qui monte... et qui retombe en vrille. Du 3-MMC financé sur frais de mandat au GHB qui emporte un pilier vendéen en pleine orgie chemsex, les cracks de la Macronie transforment l’Élysée en trip-hop fatal. La France sniffe, la République tousse du sang.

En 2024 et 2025, au moins une dizaine d'élus, maires, conseillers, sénateurs, ex-députés, ont été mis en examen ou condamnés pour viols, pédopornographie, proxénétisme de mineurs ou soumission chimique.

Et ce ne sont que ceux qui se font prendre. Derrière ces noms, un pattern glaçant : hypocrisie morale, impunité relative, et un réseau invisible qui fournit drogue et victimes.

Les Français ont peur de leurs élus. Il est temps de hurler notre ras-le-bol. Cet article n'est pas seulement une enquête ; c'est un manifeste pour un contrôle radical, une purge des élites corrompues.

La pourriture au sommet : quand la Ve République agonise dans ses propres excréments
Des élus sombrent dans la drogue, le sexe débridé et la corruption : de la mort de Laurent Caillaud aux trafics de cocaïne, en passant par les dissimulations pédophiles de Bayrou. Ces ignominies sonnent le glas d’un régime monarchique déguisé : il est temps de basculer vers une VIe République.

Une hécatombe de scandales : Les cas qui ébranlent la République

Commençons par le plus récent, car l'actualité est un révélateur impitoyable. Le 20 septembre 2025, le sénateur Joël Guerriau, centriste des Pays de la Loire, annonce sa démission après deux ans d'un calvaire judiciaire.

Soupçonné d'avoir drogué la députée Sandrine Josso avec de la MDMA pure diluée dans du champagne lors d'une soirée en novembre 2023, il est mis en examen pour "administration de substance en vue de commettre un viol ou une agression sexuelle".

Les juges ont ordonné un procès en juin 2025, et un nouveau témoignage d'une autre femme l'accuse d'agressions similaires. Guerriau, qui clamait son innocence, avait même cherché en ligne les effets du GHB et de l'ecstasy – des traces numériques fatales. Sa démission, "tardive" selon Josso qui exprime son "dégoût", arrive pile avant son jugement. Un élu qui moralisait sur la famille et l'éthique, réduit à un prédateur chimique.

Remontons à septembre 2024. Pierre-Alain Cottineau, 37 ans, ex-candidat La France insoumise (LFI) à Nantes et président d'une association LGBT, est mis en examen pour "viols avec barbarie sur mineure de moins de 15 ans" et "organisation de pédocriminalité". Assistant familial, il est soupçonné d'avoir torturé et prostitué une fillette handicapée de 5 ans, et d'avoir alimenté un réseau pédophile en filmant des orgies impliquant des enfants de moins de 6 ans confiés à sa famille d'accueil. Exclu de LFI, Cottineau incarne l'horreur : un militant "progressiste" qui exploitait les plus vulnérables. L'enquête révèle un trafic d'images et de mineurs, avec des connexions locales glaçantes.

Le 15 septembre 2025, Laurent Caillaud, 56 ans, conseiller régional des Pays de la Loire et proche de Bruno Retailleau (ministre de l'Intérieur), est retrouvé mort dans un appartement de Tours. L'hypothèse privilégiée ? Une overdose lors d'une soirée chemsex – ces orgies sous GHB, méthamphétamines et ecstasy, souvent mortelles. Père de famille, Caillaud participait à une partie fine avec deux hommes quand son cœur a lâché. L'enquête, ouverte pour "recherche des causes de la mort", met en lumière un milieu discret mais tentaculaire chez les élites vendéennes. Un élu conservateur, prêchant la morale traditionnelle, mort dans l'excès qu'il dénonçait en public.

En septembre 2024 toujours, un élu de Haute-Garonne et un ancien candidat LFI figurent parmi huit hommes mis en examen pour "sollicitation de prostitués mineurs". Via des annonces en ligne, ils cherchaient des rapports avec des garçons de 14 ans. L'affaire, étouffée dans les médias, révèle un réseau de proxénétisme digital impliquant des figures locales. Même pattern : des hommes de pouvoir, anonymes en ligne, traqués par la police.

Mars 2024 : Vincent Dubourg, élu municipal à Coutances (Manche), est mis en examen pour "propositions sexuelles à une mineure de 15 ans". Piégé par un gendarme en civil posant comme une ado sur les réseaux, il avoue. Condamné plus tard, il symbolise ces chutes solitaires, loin des projecteurs.

Février 2025 : Le maire de Vauchonvilliers (Aube), un père de famille respecté, écope de dix ans de prison pour viols incestueux sur ses deux filles mineures, survenus sur des années. Ses collègues, sous le choc, parlent d'un "monstre caché". L'affaire éclate après une plainte des victimes, soulignant l'opacité des enquêtes familiales chez les élus.

Et mai 2025 : Edgar Moulin, 59 ans, maire de Saint-Élier-les-Bois (Orne), est mis en examen et écroué pour "viol sur personne vulnérable", "détention d'images pédopornographiques", "proxénétisme aggravé" et "recours habituel à la prostitution de mineurs". Interpellé après un home-jacking qui révèle son ordinateur rempli de contenus illégaux, il reste en détention malgré un appel en juin. Un maire rural, pilier de sa commune, démasqué en prédateur compulsif.

Ces cas ne sont que la partie émergée. Sur X, les discussions bruissent : un député LFI, Andy Kerbrat, avoue en juillet 2025 son addiction à la drogue, achetée à un mineur avec des fonds publics pour des soirées chemsex. "Maintenant je suis abstinent", dit-il, mais le mal est fait. Et que dire des rumeurs persistantes sur d'autres ? La presse en parle rarement, préférant "protéger la vie privée" – un euphémisme pour impunité.

L'hypocrisie comme mode de gouvernance : Moraliser les autres, se repaître dans l'ombre

Ces élites qui nous gouvernent sont les premiers à nous sermonner. Souvenez-vous de Benjamin Griveaux, ex-porte-parole de Macron, candidat à la mairie de Paris en 2020. Il posait en père exemplaire, prêchant la "fidélité dans le 16e arrondissement comme valeur cardinale". Résultat ? Des vidéos sexuelles fuitées, montrant des actes explicites avec une maîtresse. Piotr Pavlenski, l'artiste qui les a diffusées, dénonçait l'"hypocrisie dégoûtante" : un homme qui utilise sa famille comme bouclier moral tout en trompant. Griveaux a dû se retirer, mais l'affaire révèle le fond : ces Tartuffes qui moralisent les Français sur l'éthique, la famille, les drogues, pendant qu'ils organisent des orgies sur Grindr, financées par nos impôts.

Pensez à l'hypocrite qui fait de la prévention anti-drogues en journée et fournit la came pour une chemsex mortelle la nuit – comme Caillaud, proche de Retailleau, qui combattait l'insécurité tout en y participant. Ou Cottineau, militant LGBT pour les droits des vulnérables, qui torturait des enfants handicapés. Des décennies de leçons de morale – "un peu plus d'éthique, un peu plus de morale" – balayées par leurs actes ignobles. C'est un versé permanent : ils nous jugent, nous, le peuple, pendant que leurs vices pourrissent la République.

Qui fournit tout ça ? Drogue, enfants, impunité – Le moment du complot rationnel

Et là, la question qui brûle : qui approvisionne ? Des kilos de GHB et MDMA pour ces soirées chemsex, des réseaux de mineurs pour les viols et proxénétisme – ça ne tombe pas du ciel. Les enquêtes stagnent, les connexions s'arrêtent aux suspects isolés. Mais le volume est systématique : au moins cinq affaires en 2025 rien que pour pédopornographie et viols par élus. Les citoyens ont peur, car ça pue le réseau. Pas un complot fumeux, mais une réalité : l'opacité judiciaire protège les puissants. Qui vend la came à un sénateur comme Guerriau ? Qui fournit les gosses à un maire comme Moulin ? Et pourquoi la presse enterre-t-elle ? Il est temps de poser ces questions, sans filtre. Si c'est un "complot", c'est un qui pue la corruption élitaire.

Manifeste pour une purge : Contrôles stricts ou abdication de la République

Citoyens de France, ras-le-bol ! Nous ne tolérerons plus ces monstres en costumes. Exigeons :

  • Vérifications systématiques : Tests toxicologiques annuels pour tous les élus, fouilles numériques obligatoires, et interdiction des fonctions pour tout soupçon de déviance.
  • Transparence judiciaire : Procès publics en 6 mois max, fin de l'impunité "familiale" ou "privée".
  • Purge des élites : Démission immédiate pour mise en examen, et un "conseil de moralité" citoyen pour juger l'hypocrisie.
  • Enquête nationale : Une commission indépendante sur les réseaux de drogue et pédocriminalité chez les élus. Qui fournit ? Réponse ou démission collective du gouvernement.

Ces hommes – et ils sont tous hommes, curieusement – ont trahi leur mandat. Ils violent nos enfants pendant qu'ils nous volent notre confiance. La peur doit céder à la colère. Organisons des manifestations, pétitions, boycotts électoraux. La Ve République agonise sous ces ombres ; réinventons-la, propre, intègre. Sinon, qui protègera les enfants de demain ?


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