Ariane Bilheran, scalpel en main, incise les chairs du pouvoir dans son livre choc. Manipulation partout, perversion dedans. Un rire amer face au miroir sociétal. Pour Apar.tv, une prédiction : demain, les fils invisibles se resserrent. Mais avec ces clés, on danse sur le fil.
Imaginez : un vieil héritier, Nicolas Puech, scrute le vide de son coffre-fort. Six millions d’actions Hermès. Disparues. Poof. Valeur actuelle : 12 milliards de francs suisses. Et au bout du fil, Bernard Arnault, qui rit en empochant 2,9 milliards d’euros de plus-value.
Si l’emploi des jeunes âgés de 15 à 19 ans existe depuis des décennies au Québec, cette tendance s’est étendue depuis deux ans aux enfants de 11 à 14 ans. JackF/Adobe Stock
REPORTAGE – Si l’emploi des jeunes est une pratique bien ancrée dans la Belle Province, celui des enfants fait débat.
Montréal
«Tu ne peux pas travailler à la caisse, tu n’as que 12 ans», lance Hans, 15 ans, caissier d’un supermarché de l’est de Montréal à un jeune garçon. Ce dernier se défend. «J’ai 13 ans», maugrée-t-il, tout en empilant des paniers près de la caisse d’Hans, avant de s’éloigner en poussant des Caddie.
«J’aime mon travail. C’est ma première jobine (job). J’ai commencé le mois dernier et je suis là environ quinze heures par semaine», confie le jeune garçon, tout sourire. Hans, à qui l’on donnerait moins que son âge, apprécie aussi son travail.
«Ici il n’y a que des jeunes. Les adultes sont là pour nous contrôler et nous donner des conseils», précise-t-il. Et le salaire? L’adolescent pique du nez, regarde à droite à gauche pour s’assurer que personne ne l’écoute. «Ce n’est que le salaire minimum, 14,25 dollars de l’heure (dollars canadiens – 11 euros)». Le salaire minimum a pourtant augmenté de 14 % depuis le début de la pandémie.
Si l’emploi des jeunes âgés de 15 à 19 ans existe depuis des décennies au Québec, cette tendance s’est étendue depuis deux ans aux enfants de 11 à 14 ans. JackF/Adobe Stock
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