La Philarmonie de Paris annonce porter plainte contre ses propres employés, qui ont protesté contre la venue de l'orchestre philarmonique d'Israël et déclare:
Il s'agit d'un monopole naturel, qui ne peut par nature se maintenir qu'à travers des pratiques illégales pour se maintenir, et qui amènent structurellement l'entreprise à commettre des abus de position dominante.
Emmanuel Macron avoue ne pas aimer les adolescents – Une déclaration qui interroge son passé
Dans un portrait intimiste publié le 15 juillet 2025 par The Guardian, le président français Emmanuel Macron s'est livré à des confidences surprenantes sur son rapport à l'adolescence.
Au cours d'une conversation à bord de l'avion présidentiel, au retour du sommet du G7 au Canada, Macron a déclaré : « Je n'ai jamais été un adolescent. Je n'aime pas les adolescents. Je ne les comprends pas. Ma femme les comprend. » Cette phrase, prononcée dans un contexte de dîner animé avec sa délégation, a rapidement fait le tour des réseaux sociaux, suscitant ironie et controverses.
Le contexte de la déclaration : un sommet tendu et des réflexions personnelles
L'article, intitulé The Shining: My Trip to the G7 Horror Show with Emmanuel Macron, est signé par l'écrivain français Emmanuel Carrère, qui a accompagné le président lors de ce voyage officiel. Carrère, qui profile Macron pour la seconde fois en sept ans, décrit un sommet marqué par les tensions géopolitiques, notamment l'absence d'une déclaration commune en raison de la présence de Donald Trump, et des crises mondiales comme la guerre en Ukraine ou les catastrophes écologiques.
La déclaration sur les adolescents surgit lors d'un échange informel sur des thèmes variés, incluant les bulles cognitives et les doubles standards. L'atmosphère était euphorique, mélange d'adrénaline et de fatigue après un sommet jugé peu fructueux. Carrère note l'attention et l'engagement de Macron, contrastant avec son image publique parfois perçue comme morose. Le président apparaît détendu, vêtu d'un t-shirt noir orné d'une chouette, symbole de sa vision historique.
Mais c'est l'ironie de la phrase qui frappe : Macron, qui a rencontré sa femme Brigitte alors qu'il était adolescent (il avait 15 ans et elle était son professeur de théâtre, âgée de 39 ans), évoque ici une distance avec cette période de la vie. Carrère souligne ce paradoxe, suggérant que la compréhension de Brigitte pour les adolescents a pu jouer un rôle clé dans leur relation, propulsant Macron vers sa position actuelle. Cette relation, souvent scrutée pour son écart d'âge de 24 ans, refait surface dans les débats publics, rappelant que Brigitte Macron, ancienne enseignante, a en effet une expérience professionnelle avec les jeunes.
Réactions sur les réseaux : entre humour noir et critiques acerbes
La déclaration n'a pas tardé à enflammer X (anciennement Twitter). Postée initialement par l'utilisatrice @liasagan avec une image illustrant la citation, elle a récolté plus de 1 100 likes et des centaines de repartages en quelques heures. Une internaute a réagi en demandant si c'était une blague, ce à quoi @liasagan a répondu fermement : « Non », en joignant le lien vers l'article de The Guardian.
Emmanuel Macron : "Je n'ai jamais été un adolescent. Je n'aime pas les adolescents. Je ne les comprends pas. C'est ma femme qui les comprend..." pic.twitter.com/fGPt1tA3fP
Les commentaires soulignent souvent l'ironie. Par exemple, @ViceIsNotFoot a écrit : « Tu m’étonnes 😵💫 », insinuant que la compréhension des adolescents par Brigitte Macron n'est pas anodine, vu leur histoire personnelle. D'autres, comme @will_sou_igou, un enseignant-chercheur, qualifient la phrase de « tellement problématique » en lien avec la vie sentimentale de Macron. Le média indépendant @lecontrechamp a relayé l'information en notant que les propos font réagir, tandis que @sebanxo les juge « très problématique ».
Ces réactions mettent en lumière un malaise persistant autour du couple Macron. Bien que leur union soit légale et consentie, l'écart d'âge et le contexte de leur rencontre (professeur-élève) restent des sujets sensibles, souvent accusés de perpétuer des stéréotypes ou des dynamiques de pouvoir inégales. Des observateurs politiques notent que cette confidence pourrait alimenter les critiques sur l'image élitiste et déconnectée du président, surtout dans un contexte de basse popularité domestique.
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