Il y a des magistrats déférés en vue d’une mise en examen pour 11 chefs d’accusation liés au banditisme corse, comme Hélène Gerhards, qui présidait jusqu’en janvier 2023 la cour d’assises du Lot-et-Garonne à Agen (!) et qui était avant cela Vice-Procureure à Toulouse. Il y a des magistrats qui, tel Olivier Bailly, Vice-Président du Tribunal Judiciaire de Dijon au moment des faits, avait proposé sur des sites libertins des relations sexuelles avec sa fille de 13 ans entre octobre 2019 et juin 2020. Et qui se permettait, en sa « qualité » de Juge pour Enfants, de décider de leur sort. Il y a ainsi une multitude d’affaires dans lesquelles les arrêts judiciaires sont des services vendus et surtout pas rendus au nom du Peuple Français. Car derrière, des robes noires affectées du syndrome de Dieu sautent à pieds joints dans la corruption, l’infamie, pensant ne jamais être inquiétées, faisant sur leur route des dégâts considérables dans la vie des citoyens français.
Et puis il y a le Juge Durand.
Un juge pour enfants
Dès ses premières apparitions télévisées, le Juge Durand a très vite précisé : il écarte les parents et parle…aux enfants. Quoi de mieux pour comprendre ce qui se passe lorsque les portes de la maison sont fermées à double tour ? Alors, le Juge Durand prend le temps d’écouter les petits. Il les entend. Il les respecte. Lorsqu’un mineur victime lui confie son malheur (et n’allez pas nous dire qu’un enfant ment ou qu’il adore particulièrement dénoncer un proche lui ayant fait du mal), le secret déposé avec moult appréhensions sur son bureau est ensuite traité de façon humaine et méthodique : le juge, sans air de supériorité, sans réflexions déplacée sur cette délivrance, dit alors au petit héros qui a osé parler : « je t’écoute, je te crois, je te protège ». Voilà comment le Juge Durand recueille la parole de nos enfants.
Un juge droit dans ses bottes
Que des magistrats reçoivent des ordres, des menaces, cela peut arriver. Mais lorsqu’ils cèdent, c’est là que nous les exécrons. Car ils savent parfaitement hausser le ton sur les parents protecteurs, sauver la mise du parent destructeur, ils savent aussi sortir de leurs bureaux avant une audience en courant se plier devant un citoyen qui n’est pas lambda mais avec du réseau, ils savent écraser dans l’antre de leurs bureaux votre personnalité. Ils font durer les procès, espérant votre usure, croyant intimement que vous allez finir par tomber. Édouard Durand, et, prions fort, des juges comme lui, tiennent bon. Ni les pressions ni les injonctions venant « de très haut » ne font d’effet sur lui. Il avance, imperturbable, avec une modestie qui force le respect.
Un homme de valeurs
À la question « que pensez-vous du Juge Durand », voici des réponses de parents emmêlés avec les incohérences de si nombreux tribunaux sur tout le territoire français : « il a posé les mots exacts sur le mal qui me ronge depuis des années ». « Il m’a montré qu’il était possible de revenir sur mon passé, non pas pour m’enterrer avec mon petit secret mais pour enfin le dévoiler et d’en finir avec lui ». « Témoigner à la CIIVISE m’a permis de revivre, enfin ». Ecarté de la présidence de cette commission sur l’inceste, le Juge Durand peut être fier de lui. Car nous vivons dans un pays où ce qui fonctionne doit être détruit. Que le Juge Durand se rassure : son éviction, ou la jalousie de ses pairs, nous prouvent à nous à quel point il vise juste.
« Un violent conjugal ne peut pas être un bon père ». « Dans les situations de violence, le violent conjugal va rechercher le pouvoir par l’exercice de l’autorité parentale ». « La question est : voulons nous protéger les droits d’un père violent et qui transgresse la loi ? Où voulons-nous protéger une mère et des enfants qui souhaitent simplement vivre en sécurité ? ».
Répétez ces dernières phrases prononcées par le Juge Durand dans votre tête comme des mantras et vous participerez à la protection de l’innocence. Vous aiderez notre société future, aussi. Car les enfants d’aujourd’hui sont les adultes de demain…