Ces dernières années, un phénomène préoccupant a émergé dans le paysage politique français : de plus en plus de politiciens bloquent les commentaires sur leurs publications et déclarations publiques, empêchant ainsi les citoyens de s’exprimer.
Le 7 juillet 2025, Olivier Marleix, député français et figure respectée des Républicains (LR), a été retrouvé mort à son domicile, officiellement victime d’un "suicide" à l’âge de 54 ans.
Le 7 juillet 2025, une nouvelle tragique a secoué la Russie : Roman Starovoït, récemment démis de ses fonctions de ministre des Transports par décret présidentiel de Vladimir Poutine, a été retrouvé mort à son domicile dans la région de Moscou, quelques heures seulement après son limogeage.
Le camion les a laissés à vingt kilomètres de Tamanrasset – s’ils marchent bien, ils y seront avec le jour. Elle est restée en arrière, prostrée, après avoir été tirée du groupe de migrants par la lampe-torche agressive de soldats. Il pense qu’on ne peut pas laisser une femme seule dans le désert. Il va la relever, l’aide à marcher, sans se rendre compte de la responsabilité dont il se charge en la prenant sous son aile. C’est par cette rencontre de hasard que commence « Hope » de Boris Lojkine. On les suit ensuite tous les deux, Leonard et Hope, le Camerounais et la Nigériane, sur la route qui mène vers les portes de l’Europe. Il faut accepter sans mot dire les rackets ; il faut, pour les femmes, décider qu’on ne fera pas que subir la violence sexuelle, mais qu’on fera de son corps un gagne-pain pour se rapprocher un peu du but. Alors que les villes algériennes et marocaines rejettent ces migrants noirs, ils ne sont pas mieux traités dans les ghettos communautaires où les « chairmen » font régner tour à tour leur loi de petit royaume et leurs caprices arbitraires. « Hope » est un film qui agrippe et qui ne lâche plus, qui met des visages et des histoires personnelles sur les migrants dont on n’entend souvent parler qu’en termes statistiques, une fois qu’ils ont fait naufrage ou débarqué sur les côtes européennes. Tourné avec des acteurs non-professionnels, tous bouleversants, fruit d’une immersion de plusieurs mois dans ce monde inconnu que représentent les réseaux d’immigration subsaharienne, le film sort dans peu de salles, faute d’avoir pu s’appuyer sur le financement d’une chaîne. Il est sûr qu’on est loin du feel good movie. Mais Boris Lojkine et son équipe ont fait là une œuvre politiquement indispensable, et magnifique.
Le New York Times a dévoilé le 27 juin 2025 son classement des 100 meilleurs films du 21e siècle, une initiative ambitieuse visant à célébrer les œuvres cinématographiques qui ont marqué les 25 premières années de ce millénaire.
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
Il est des cinéastes dont le talent devrait crever l’écran, transcender les frontières et secouer les âmes, mais qui, par une aberration totale, restent dans l’ombre. Shinji Sōmai, ce maître japonais, en est l’exemple criant.
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