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Durov parle. Et il a raison de parler.

Pavel Durov n’a pas tweeté pour le buzz. Il a tweeté parce qu’il est enfin libre de le faire.

Durov parle. Et il a raison de parler.

Rappel des faits, secs.
24 août 2024. Le Bourget. Jet privé. Menottes.
Quatre nuits en garde à vue. Cinq millions de caution.
Interdiction de quitter la France. Signatures tous les quinze jours au commissariat.
Motif officiel : « complicité de diffusion de pédopornographie ».
Motif réel : Telegram refuse de livrer les clés.

Macron, en direct sur Twitch, jurait la main sur le cœur : « Rien de politique. »
Trois mois plus tard, la justice française lève l’interdiction de sortie.
Durov file à Dubaï. Et là, il ouvre la bouche.

Candace Owens balance : un informateur « haut placé » lui a dit que les Macron avaient commandité son assassinat et celui de Charlie Kirk.


L’assassin de Kirk ? Un ex-légionnaire de la 13e DBLE, formé en France, multi-passeports.
Durov lit. Relit. Et répond : « Après tout ce que Kirk a balancé sur Macron, je trouve ça… entièrement plausible. »

Il ne dit pas « vrai ». Il dit « plausible ».
Et c’est énorme. Parce que Durov sait ce que coûte un mot de travers sous juridiction française.

Il sait surtout ce que coûte le silence quand on vous tient par les couilles pendant trois mois.

Même génération. Même guerre.
Owens, 1989. Kirk, 1993. Durov, 1984.
Ils ont grandi avec Internet libre.
Ils refusent l’Internet en laisse que l’Europe macronienne veut imposer : Chat Control, backdoors obligatoires, censure algorithmique.
Kirk a payé cash. Owens est toujours dans le viseur.
Durov, lui, a été le prisonnier modèle. Il a attendu. Il est sorti. Il parle.

Ce n’est pas une théorie. C’est un témoignage.
D’un type qui a vécu la machine française de l’intérieur.
Et qui, pour la première fois, n’a plus de juge d’instruction derrière la porte.

Sur Apar.tv, on ne parie pas sur le complot.
On constate : quand on touche à la génération qui a bâti le Net libre,
les vieux empires sortent les menottes, les tueurs, ou les deux.

Durov a raison de parler.
Et il a raison de dire que c’est plausible.
Parce qu’il était là.
Parce qu’il a payé pour le savoir.


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