Dans un monde où les alliances géopolitiques sont souvent présentées comme des blocs monolithiques, la relation entre la Russie et la Chine offre une étude de cas fascinante sur les tensions sous-jacentes qui peuvent exister même entre des partenaires apparemment unis.
Alors que le monde peine encore à se remettre des séquelles de la pandémie de COVID-19, une nouvelle alerte plane à l'horizon. Une simulation de crise bioterroriste, baptisée par certains "Event 201", est programmée pour débuter le 4 juillet 2025, jour de la fête de l'Indépendance aux États-Unis.
L'interview de Pavel Durov, fondateur de Telegram, avec Tucker Carlson, diffusée le 9 juin 2025, a jeté une lumière crue sur ce que certains qualifient désormais de "dictature molle" en France sous l'ère Emmanuel Macron.
Ça pourrait devenir le film le plus rentable de l’histoire du cinéma français, mais en attendant c’est le phénomène indé de cette fin d’année. Pour 150 euros, Djinn Carrenard a réussi à boucler un film applaudi dans tous les festivals. Comment ? Facile. Caméra prêtée par un ami, acteurs non payés, formation grâce au tutoriels internet, répétition dans un squat… bref, système D. Cette débrouille qui revient fort (encensé, avec nostalgie, par Steven Spielberg et J.J. Abrams lors de la sortie de Super 8). Djinn Carrenard commence par réaliser des clips, puis en 2008, il écrit et réalise White Girl In Her Panty. 25.000 vues en un week-end. Beaucoup de clics pour un déclic, il se lance dans l’aventure Donoma. Djinn Carrenard revendique des influences marquées, « Spike Lee, Jim Jarmusch, ou encore Melvin Van Peeples, de vrais réalisateurs indépendants ». Un vrai réalisateur typique de cette nouvelle génération. Mais quelle génération ? 2.0 ? Indignés ? Démerde ?
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
Il est des cinéastes dont le talent devrait crever l’écran, transcender les frontières et secouer les âmes, mais qui, par une aberration totale, restent dans l’ombre. Shinji Sōmai, ce maître japonais, en est l’exemple criant.
Avec le film Nikita (1990) Luc Besson mettait en scène une jeune femme multi-traumatisée récupérée et programmée par les services pour faire d'elle un agent ultra performant...
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