La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
En Suède, un collectif de douze femmes, réalisatrices, artistes et féministes engagées, vient de sortir un DVD qui fait beaucoup de bruit. Dirty Diaries est une collection de douze courts métrages. Douze films érotiques, tournés avec la caméra d’un téléphone portable, pour «libérer la sexualité de la femme», résume la réalisatrice Åsa Sandzén.
On pense évidemment aux films lesbiens militants d’Emilie Jouvet et des X-Plicit Films (série de courts-métrages réalisés par Arielle Dombasle, Helena Noguerra, Lola Doillon, Mélanie Laurent et Laetitia Masson), diffusés sur Canal+.
Mia Engberg, 38 ans, est à l’origine du projet. Documentariste, elle a réalisé, en 2002, un premier film érotique, Selma et Sofie, qui racontait le désir d’une femme pour sa prof de natation. Une rupture pour elle, qui se définit comme une « féministe engagée », opposée à tout ce qui peut avoir trait à l’industrie du X nous apprends Libération. « Je me suis rendu compte que j’étais devenue victime de mon opposition. Je m’interdisais le porno,alors que je voulais voir des films, mais faits autrement. »
En 2004, Mia Engberg récidive avec un court métrage, présenté au Festival du film de Stockholm, qui montre le visage de femmes pendant l’orgasme. Les réactions l’étonnent. « Les hommes les trouvaient moches. » Pour elle, c’est la preuve qu’ils ont besoin de voir plus de femmes s’adonner au plaisir du sexe. Des vraies, pas des poupées Barbie aux seins siliconés et aux fesses liposucées.
« Les films pornos ont toujours été faits par des hommes pour les hommes », a dit la réalisatrice, Mme Engberg, pour expliquer l’objectif de son oeuvre. « Il s’agit avant tout de montrer la sexualité du point de vue des femmes. Le film n’est pas fait pour satisfaire un public masculin et pour rapporter de l’argent », a-t-elle ajouté.
En Suède, le DVD est loin de faire l’unanimité. On lui reproche une orientation «trop lesbiennes» (5 films sur 12). Mais la principale critique vise l’Institut du film suédois, qui a accordé au projet une subvention de 350 000 couronnes, soit 35 000 euros.
Beatrice Fredriksson, une membre du parti conservateur du Premier ministre Fredrik Reinfeldt, dénonce sur son blog le versement des subventions à un film pornographique.
« Le gouvernement ne devrait pas financer ce genre de chose, qui obtient de l’argent juste parce que c’est +féministe+ », estime-t-elle. La polémique est en marche. Affaire à suivre.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
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