Depuis l’élection de Macron, une vague de critiques s’est élevée contre lui, portée par des intellectuels, activistes, journalistes et humoristes. Découvrez cette liste de personnalités en hommage au mouvement #JeNeSuisPasSuicidaire, qui ont osé défier le pouvoir en place.
Depuis le début de l’année 2025, une série de drames a bouleversé la France, touchant à la fois les fonctionnaires de la Direction générale des finances publiques (DGFiP) et des figures politiques de premier plan.
Ces dernières années, un phénomène préoccupant a émergé dans le paysage politique français : de plus en plus de politiciens bloquent les commentaires sur leurs publications et déclarations publiques, empêchant ainsi les citoyens de s’exprimer.
Didier Linotte, ex-président du Tribunal suprême de Monaco, inculpé pour corruption : un scandale aux ramifications multiples
Didier Linotte, ancien président du Tribunal suprême de Monaco, a été inculpé mercredi 25 juin 2025 pour corruption, trafic d’influence, prise illégale d’intérêt et blanchiment, selon des informations confirmées par son avocat.
Ces accusations s’inscrivent dans un contexte explosif de scandales immobiliers et d’enquêtes judiciaires qui secouent la principauté, impliquant des figures de pouvoir et des contrats immobiliers juteux.
Mais au-delà de cette affaire, des rumeurs persistantes, bien que non confirmées, évoquent des soupçons de pédocriminalité entourant le palais princier, alimentant une inquiétude qui dépasse les frontières de Monaco.
L’inculpation de Didier Linotte trouve ses racines dans une série d’enquêtes déclenchées en 2021 par un mystérieux whistleblower, surnommé "le corbeau", via le site Les Dossiers du Rocher. Ce site accusait quatre anciens proches du prince Albert II, dont Linotte, Thierry Lacoste (avocat personnel du prince), Claude Palmero (ancien comptable de la famille princière) et Laurent Anselmi (ex-chef de cabinet), de collusion dans des affaires immobilières. Au centre des accusations : un versement de 136 millions d’euros (hors intérêts) par l’État monégasque à la société Caroli pour l’abandon du projet immobilier de l’Esplanade des Pêcheurs. Ce projet, qui prévoyait un immeuble et un musée sur le littoral monégasque, aurait été jugé "illégalement" abandonné par le Tribunal suprême en 2018, sous la présidence de Linotte, entraînant une indemnisation record en 2020.
L’avocat de Linotte, Me Pascal-Pierre Garbarini, rejette ces accusations, qualifiant l’affaire de "fable". Il insiste sur le fait que la décision de 2020 a été prise collectivement par cinq des sept membres du Tribunal suprême, composé de juristes de renom, rendant improbable une corruption isolée de Linotte.
Outre l’affaire Caroli, les enquêteurs se penchent sur les activités de conseil de Linotte via sa société Alma Marceau Transactions. Bien que son statut de magistrat vacataire lui permettait d’exercer cette activité, les autorités monégasques lui avaient ordonné d’y mettre fin en 2017, dans le cadre d’une évaluation du GRECO (Groupe d’États contre la corruption du Conseil de l’Europe). Linotte affirme avoir respecté cette injonction, mais des doutes subsistent sur d’éventuelles prestations post-2017, alimentant les soupçons.
L’inculpation de Linotte n’est que la dernière d’une série de secousses judiciaires à Monaco. Depuis 2021, les révélations des Dossiers du Rocher ont entraîné des auditions, perquisitions et gardes à vue, visant notamment des figures comme Claude Palmero, qui a été interrogé à six reprises. En 2023, le prince Albert II a progressivement écarté ces anciens conseillers, marquant une rupture avec ce qu’un corbeau a baptisé le "G4", un prétendu cabinet noir influençant la principauté.
Plus récemment, d’autres affaires ont éclaboussé Monaco. En juin 2025, le maire de Monaco, Georges Marsan, a été placé en garde à vue dans une enquête distincte, ajoutant à l’impression d’une principauté sous tension judiciaire. Par ailleurs, un procès pour corruption impliquant un ancien commissaire de police, Christian Carpinelli, et des délivrances frauduleuses de titres de résidence a révélé des failles dans la transparence monégasque.
Au-delà des scandales immobiliers, des allégations beaucoup plus graves, bien que non étayées par des preuves publiques, circulent à Monaco et en France. Des rumeurs persistantes évoquent une possible affaire de pédocriminalité impliquant des cercles proches du palais princier. Ces allégations, relayées initialement par certains médias, dont le magazine Public, auraient cessé d’être couvertes après de prétendues "menaces" exercées contre la rédaction. Depuis, aucun média n’a repris ces accusations, laissant planer un silence troublant.
Ces rumeurs, bien que non vérifiées, inquiéteraient non seulement les autorités monégasques, mais aussi le "pouvoir profond" en France, selon certaines sources non officielles. Une supposée enquête internationale impliquant des hommes d’Église et des responsables politiques aurait été lancée, mais aucune information concrète n’a émergé pour confirmer ces allégations.
Une visite de Macron sans impact
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