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Des images pornos sont diffusées sur les tablettes des élèves de CM2

Des images pornos sont diffusées sur les tablettes des élèves de CM2

Ils n’étaient pas censés tomber sur un tel contenu. Des enfants de CE2 de l’école Alfred-Mézieres de Nancy (Meurthe-et-Moselle) ont été confrontés à des images pornographiques en utilisant une des tablettes numériques mises à leur disposition par l’établissement. Une enquête interne a été ouverte par les services de l’Éducation nationale, a appris l’AFP mercredi.

Les faits se sont produits début janvier 2024, à la reprise des cours après les vacances de Noël. « Une réunion avec les parents concernés a été organisée le jeudi avec la mairie, l’inspectrice, moi-même le directeur de l’école et la psychologue scolaire. La parole des élèves est recueillie et leurs inquiétudes accompagnées », a précisé à l’AFP le rectorat de la Région académique Grand Est et de l’académie de Nancy-Metz, confirmant une information de L’Est Républicain .

Le pare-feu désactivé

Selon la Ville, contactée par l’AFP, les tablettes fournies aux écoles sont protégées. Elles possèdent un pare-feu, baptisé Edutab, qui ne peut être désactivé que par un code que seule les directions des écoles détiennent. Aussi, dès que les élèves les allument, le moteur de recherche se lance automatiquement.

Une seconde protection est installée via « des boîtiers de filtrage de flux internet », en cours de remplacement depuis l’automne, souligne la municipalité. Sur la tablette à l’origine de l’incident, « le pare-feu a été malencontreusement désactivé, ne permettant pas au filtre de fonctionner », et le boîtier n’avait pas été remplacé. Il l’est désormais, indique la mairie.

« La Ville de Nancy a depuis rappelé à tous les professionnels des écoles les consignes de sécurité, et la nécessité d’utiliser des tablettes uniquement connectées au pare-feu Edutab », a-t-elle encore précisé.

Selon L’Est Républicain, trois parents d’élèves ont souhaité déposer plainte, mais seul l’un d’entre eux a pu le faire effectivement. L’un des parents d’élèves a rapporté au journal l’état de choc dans lequel se trouvait sa fille, confrontée à ce contenu. La municipalité a indiqué qu’elle « ne peut que regretter l’incident survenu au sein » de cette classe « et assure tout mettre en œuvre en lien étroit avec l’Éducation nationale pour que cela ne se reproduise pas, que l’intégrité des élèves soit préservée et leur quotidien sécurisé ». Le parquet de Nancy n’a pas répondu aux sollicitations de l’AFP.

Source : lenouveaudetective.com


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