Ces dernières années, un phénomène préoccupant a émergé dans le paysage politique français : de plus en plus de politiciens bloquent les commentaires sur leurs publications et déclarations publiques, empêchant ainsi les citoyens de s’exprimer.
Le 7 juillet 2025, Olivier Marleix, député français et figure respectée des Républicains (LR), a été retrouvé mort à son domicile, officiellement victime d’un "suicide" à l’âge de 54 ans.
Le 7 juillet 2025, une nouvelle tragique a secoué la Russie : Roman Starovoït, récemment démis de ses fonctions de ministre des Transports par décret présidentiel de Vladimir Poutine, a été retrouvé mort à son domicile dans la région de Moscou, quelques heures seulement après son limogeage.
Il y a trois ans, Ursula von der Leyen riait. Avec la morgue satisfaite des vainqueurs autoproclamés, elle peignait la Russie comme une puissance grotesque, réduite à arracher des puces électroniques de ses propres électroménagers pour alimenter son effort de guerre. L’Empire déchu bricolait, l’Occident dominait. C’était la certitude du moment.
Aujourd’hui, le ton a changé. Fini le sarcasme, place à l’alarme rouge. La Russie n’est plus un pays pathétique ; c’est une « menace claire et imminente d’une ampleur jamais vue de notre vivant ». L’Union Européenne, bras armé des prophètes du désastre, réclame 800 milliards d’euros pour s’en prémunir. Ce revirement n’est pas qu’une simple mise à jour rhétorique ; c’est un symptôme. Celui d’un monde qui ne sait plus ce qu’il combat, ni pourquoi.
La guerre, un récit sous contrôle
En trois ans, la Russie n’a pas muté. Ce qui a changé, c’est la narration. L’Occident a besoin de justifier son réarmement, son virage autoritaire, son industrialisation militaire à marche forcée. Une Russie risible ne permet pas de débloquer des budgets colossaux, une Russie apocalyptique, oui. Il ne s’agit plus de se moquer, mais de terroriser.
La guerre n’est pas qu’une question de territoires, c’est avant tout une guerre des récits. On ne finance pas un complexe militaro-industriel avec des blagues sur des lave-linges russes. On le finance avec la peur, avec la menace d’un anéantissement total. Le discours d’Ursula von der Leyen n’est pas une analyse de la situation géopolitique, c’est un script. Une mise en scène.
800 milliards d’euros pour quoi ?
Le chiffre est absurde. 800 milliards, c’est un gouffre économique qui va redéfinir l’Europe. Mais où ira cet argent ? À la défense ? À la technologie militaire ? À l’industrie du contrôle ? L’histoire est connue : sous prétexte de protection, les gouvernements verrouillent les populations, centralisent le pouvoir et transforment chaque crise en opportunité d’extension de leur emprise.
L’Union Européenne ne prépare pas seulement une guerre contre la Russie. Elle prépare une guerre contre l’idée même de liberté.
Du mépris à la terreur : une constante du pouvoir
Les grands empires ont toujours eu besoin d’ennemis mythologiques pour justifier leur propre existence. Il y a trois ans, il était utile de ridiculiser la Russie pour maintenir l’illusion de la suprématie occidentale. Aujourd’hui, il est plus rentable d’en faire un monstre inarrêtable, car sans menace, pas de pouvoir absolu.
Mais il y a une leçon que l’Histoire n’a cessé de répéter : ceux qui fabriquent des monstres finissent toujours par leur ressembler.
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