La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Le 2 décembre, Cédric Rémia a quitté la capitale pour rejoindre Auxerre (Yonne). Ce jour-là, Djibril Cissé, un footballeur qu’il admire depuis toujours, était en séance dédicace pour la sortie de son nouveau livre. L’occasion idéale pour le jeune homme de 29 ans d’offrir un présent particulier à l’une de ses idoles : un portrait de l’ancien joueur de l’AJA.
Un moment inoubliable, qui vient s’ajouter à une longue liste de souvenirs mémorables en compagnie de personnalités. Depuis plusieurs années, Cédric Rémia réalise des portraits de stars dessinés de ses propres mains. Ce responsable de communication dans une école parisienne se rend ensuite sur le terrain pour les rencontrer et leur remettre le dessin.
J’ai gardé la passion du dessin à côté du travail. Peu importe mon âge, c’est quelque chose qui perdure.
Il a déjà réalisé plus de 70 portraits : Kilian Mbappé, Nicolas Sarkozy, Booba, Squeezie, Soprano, Iris Mittenaere, Michel Drucker… La liste n’en finit pas !
« Je ne demande pas d’argent en échange »
Passionné depuis l’enfance, Cédric Rémia s’est spécialisé dans le portrait à 18 ans. Des œuvres qui prennent du temps. « Je pars d’une photo que je trouve sur internet, et je la reproduis en ajoutant ma patte ou certains éléments. Pour un portrait classique, il faut compter huit heures. C’est de la minutie, il faut de la patience », explique-t-il.
Je fais ça sur mon temps libre, et les week end. J’ai même fait deux trois nuits blanches pour dessiner !
Cédric Rémia
Cédric Rémia
Dessinateurs de stars
Et Cédric Rémia l’assure, il ne fait pas ça pour l’argent. « Je fais ça par plaisir et je leur offre sans rien attendre. J’ai déjà un métier et je suis payé pour ce que je fais. Mais j’essaye d’avoir un peu de visibilité pour diffuser et partager ma passion, ça donne un peu de prestige à mon dessin. »
Cédric réalise ses dessins au crayon de bois, sur des feuilles Canson. Il remet ensuite le portrait sous un cadre. Et les compliments pleuvent. « Souvent ça se passe très bien. On me félicite et on a des échanges très sympathiques. Certains sont partagés sur les réseaux, et j’ai pu garder contact avec quelques personnes. »
Tête-à-tête avec la première dame de France
Ces moments privilégiés, c’est aussi l’occasion d’avoir des anecdotes à raconter. « J’ai remis un portrait à Mbappé quand il venait d’arriver au PSG. Il était connu mais c’était loin d’être la star d’aujourd’hui. J’ai pu lui remettre le portrait et il a eu une réaction presque enfantine. Il s’est retourné vers son père en l’appelant pour lui montrer le dessin. Cela fait sourire quand on sait la star internationale qu’il est devenu. »
Stéphane Bern a gardé le portrait dans un des monuments de patrimoine dont il est propriétaire. Des miss France ont affiché le dessin chez elles.
Cédric Rémia
Cédric Rémia
Dessinateurs de stars
Cédric Rémia a également eu l’occasion de rencontrer la première dame de France. « Lors d’un match de foot caritatif, j’ai eu l’occasion d’approcher Brigitte Macron et lui remettre un portrait. Je fais ça pour le plaisir du dessin, mais il n’y a aucun but financier. Je veux faire connaître mes dessins je trouve ça intéressant le but d’une œuvre c’est d’être vu. »
Politologue franco-américaine, spécialiste de la société américaine et des relations franco-américaines. Mon travail et mes personnages sont considérés comme des antidotes aux algorithmes. Je veux déc
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