Le 23 mai 2025, à 16h12, une onde de choc a traversé l’Europe. Donald Trump, président des États-Unis, a menacé d’imposer dès le 1er juin des droits de douane de 50 % sur les importations européennes, dénonçant des négociations commerciales avec l’Union européenne (UE) qu’il juge stériles.
Dans les années 1970 et 1980, une vague intellectuelle française, portée par des figures comme Bernard-Henri Lévy (BHL), André Glucksmann et Alain Finkielkraut, secoue l’Europe et traverse l’Atlantique.
En 2025, l’intelligence artificielle bouleverse la création publicitaire. D’ici 2030, cette révolution pourrait transformer les campagnes en expériences immersives et personnalisées, redéfinissant l’art de séduire. Plongée dans un futur où l’IA devient le moteur de la créativité publicitaire.
Pour son deuxième mandat, Emmanuel Macron a décidé de conserver deux fortes têtes qui étaient déjà présentes du temps de Jean Castex : Éric Dupond-Moretti à la Justice et Gérald Darmanin à l’Intérieur. Le Monde a consacré le 28 août un article à ce dernier dans lequel il s’explique sur sa relation très tendue avec l’ancien avocat.
« Je n’aime pas qu’on me parle mal », reconnaît plus de deux mois plus tard Gérald Darmanin dans les colonnes du Monde. « Sans doute est-ce le reste d’une éducation populaire qui consiste à se faire respecter : on se permet avec nous des choses que les bourgeois ne se permettent pas entre eux », se justifie celui qui revendique souvent ses origines populaires dans le quotidien. Avant d’affirmer : « Et puis le rapport de force fait partie de la vie. Sinon on se fait bouffer.« « J’ai appris que si tu ne grilles pas la queue à la cantine de temps en temps, on ne te file pas de frites !« , a ajouté avec humour l’ancien maire de Tourcoing.
Parfois, les deux ministres se marchent sur les pieds
Mais s’il y en a bien un qu’il ne fait pas rire, c’est bien Éric Dupond-Moretti. Leur mésentente supposée n’a pas pris de vacances. Tel son mentor Nicolas Sarkozy, Gérald Darmanin n’a pas chômé et s’est montré omniprésent cet été. À tel point qu’il a parfois marché sur les platebandes de son collègue du gouvernement. Cela s’est notamment fait sentir lors de son déplacement à Mayotte où il a notamment fait la proposition de durcir l’attribution de la nationalité aux enfants d’étrangers nés sur l’île, mais aussi de créer des « lieux de redressement » pour les enfants délinquants, qui seraient encadrés par des militaires. De quoi rendre furax Éric Dupond-Moretti qui aurait, selon Le Monde, transmis une note à Matignon.
Il y expliquait que la mesure proposée par le ministre de l’Intérieur était inapplicable pour des mineurs de moins de 13 ans. En reconnaissant que, sur ce sujet, Gérald Darmanin avait « dérapé », d’après le journal, Emmanuel Macron a d’une certaine façon donné gain de cause à Éric Dupond-Moretti. Le président de la République aurait demandé à Élisabeth Borne de le recadrer. « Quand on a une personnalité, je crois qu’on contribue à une polyphonie, il faut effectivement faire attention à éviter la cacophonie. La cheffe d’orchestre, c’est la Première ministre et il faut répondre à la baguette de la Première ministre« , a résumé Gérald Darmanin dans C à vous, sur France 5, ce mercredi 31 août. Tout en réaffirmant, en même temps, le droit d’exprimer sa sensibilité.
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