Dans les couloirs feutrés du Quai d'Orsay, une tension palpable règne depuis la publication, le 24 août 2025, d'une lettre ouverte explosive signée par l'ambassadeur des États-Unis en France, Charles Kushner.
Accusée de diffamation par le président français Emmanuel Macron et son épouse Brigitte, Candace Owens a multiplié les appels à l'aide, allant jusqu'à implorer l'ancien président Donald Trump d'intervenir pour la "sauver" de ce qu'elle qualifie d'"invasion étrangère".
Avec un contexte géopolitique tendu, marqué par l'escalade des conflits hybrides et l'omniprésence des fake news, le président Emmanuel Macron a convoqué, le 25 août 2025, un Conseil de défense et de sécurité nationale (CDSN) dédié à la "guerre informationnelle".
Internet cache bien son jeu depuis sa naissance. Puisque 96% du net est visible seulement depuis le Darknet. Et croire qu’on ne trouverait sur ce dernier uniquement un moyen d’accéder au marché noir pour acheter des drogues, des armes, des faux papiers ou encore des médicaments est aussi illusion. Avant toutes choses on trouve des réseaux privés, essentiellement d’entreprises (légales) et il est vrai beaucoup de pornographie et de contenus illicites. Mais le plus marquant c’est qu’aujourd’hui en 2016, vous pouvez recruter un assassin sur le service Hitman (visible uniquement depuis le Darknet) aussi facilement qu’un plan cul sur Tinder. C’est flippant, on en convient. Pour vous donner une idée, un meurtre aux USA vous coutera en moyenne 10 000$ et 2000$ de plus pour tuer quelqu’un en Europe. De quoi devenir complétement paranoïaque. Même si la plateforme Hitman refuse de prendre des « contrats » sur les mineures et les hommes politiques d’envergures internationales. Pour s’offrir ce service, il vous faudra payer en Bitcoin (1 Bitcoin = 230€) la monnaie virtuelle qui vous permettra de rester anonyme. Autrement dit, de nos jours, faire éliminer un être humain coute moins cher qu’une voiture neuve ou qu’une robe haute couture. Cela peut paraitre anecdotique mais à nos yeux c’est le début d’une tendance qui risque de durer un moment et que nous appelons ici, The Art Of Internet War. Comme vous êtes de belles âmes, saines et morales, nous allons vous expliquer comment vous connecter au Darknet. Non pas pour que vous puissiez faire assassiner votre voisin contre votre Livret A, simplement parce qu’il est trop bruyant le samedi soir, mais plutôt pour que vous puissiez découvrir, par exemple, ce qu’est Hidden Wiki (le Wikipédia du Darknet) qui référence les liens les plus connus. Et pour les plus curieux d’entre vous, il y a aussi Agora (l’Amazon du Darknet) et Marinas Web qui références les pires atrocités que peuvent produire le monde. Bref, Internet comme vous l’avez connu, c’est fini. Facebook, Google & co, ce n’est que 4% de ce qu’il se passe sur les réseaux. Encore une fois, ça peut faire peur, comme tout inconnu, mais ça peut aussi être un énorme levier de (nouvelles) croissances. Un monde s’ouvre à vous. Alors couvrez-vous parce qu’ici chaque excursion peut quand même vous faire prendre un coup de froid…
Passons aux choses sérieuses. Comment vous rendre sur le Deepweb ?
Première étape. Télécharger le logicielTOR (gratuit et légal), ouvrez ensuite TOR et lancez une connexion. Tor Browser est vous l’aurez compris LE navigateur web qui vous permet d’accéder à ces pages cachées. TOR fait transiter le trafic, impossible donc, d’en déterminer l’origine. Votre adresse IP ne sera donc JAMAIS identifiée.
Étape suivante. Rien de plus simple. Après avoir installé TOR, il vous suffit de rechercher quelques adresses utiles avec une extension .onion. Vous devez connaître les adresses auxquelles vous souhaitez vous connecter et pour ce faire rien de mieux que d’avoir un annuaire sous la main. Parce qu’évidemment ce n’est pas aussi facile que sur Google, il est très difficile d’y aller à l’aveugle, mais comme on est de bonne humeur, on vous laisse ici un cadeau pour votre première connexion.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Emmanuel Perrotin, figure emblématique du monde de l'art contemporain, a récemment conclu une transaction historique avec Colony Investment Management (Colony IM), un fonds d'investissement européen, en cédant une participation majoritaire de sa célèbre galerie.
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