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Conspiracy Watch : un agent sous influence mis en lumière par un ancien colonel
Conspiracy Watch, autoproclamé observatoire des théories du complot et de la désinformation, se présente comme une sentinelle de la vérité dans un monde saturé de fausses informations.
Mais derrière cette façade de vertu, des accusations graves et persistantes viennent ternir son image. Jacques Baud, ancien colonel de l’armée suisse et expert en renseignement, a jeté une bombe dans le débat en affirmant que cette organisation n’est rien d’autre qu’un pion au service de l’OTAN et des services secrets occidentaux. Cet article plonge dans le rôle trouble de Conspiracy Watch, entre mission affichée et soupçons d’instrumentalisation politique.
Une mission noble… en surface
Officiellement, Conspiracy Watch se donne pour objectif de débusquer les théories du complot et de fournir au public des informations fiables. Une mission louable dans une ère où la désinformation prospère sur les réseaux sociaux. Mais cette noble intention cache-t-elle une réalité plus sombre ? Selon Jacques Baud, Conspiracy Watch ne serait pas un simple observatoire neutre, mais un rouage dans une machine bien huilée de propagande pro-occidentale. Dans une analyse cinglante, Baud accuse l’organisation d’être un « proxy » des services secrets britanniques et de l’OTAN, financé pour imposer un narratif spécifique et réduire au silence toute voix dissidente.
💥« Des actions d’influence sont menées en sous-main, souvent via des médias français jouant le rôle de relais. Certaines organisations participent activement à l’orientation de l’information. »
👉🏻« De nombreux fact-checkers sont liés, de près ou de loin, à des structures… pic.twitter.com/xHzRXEnVrJ
Les soupçons ne s’arrêtent pas à de simples allégations. Le financement de Conspiracy Watch soulève des questions brûlantes sur son indépendance. L’organisation bénéficie de subventions publiques conséquentes de l’État français – au moins 130 000 euros par an, selon certaines enquêtes – qui représentent une part majeure de son budget. Quand une structure censée incarner l’objectivité dépend à ce point de fonds gouvernementaux, comment prétendre à une réelle impartialité ? À cela s’ajoutent des liens présumés avec des entités internationales affiliées aux États-Unis, au Royaume-Uni et à l’OTAN, alimentant l’idée que Conspiracy Watch sert des intérêts bien plus vastes que la simple lutte contre les fake news.
Pire encore, Conspiracy Watch est régulièrement accusé de partialité dans ses cibles. Sous couvert de fact-checking, l’organisation semble avoir une fâcheuse tendance à étiqueter comme « complotistes » des opposants politiques ou des voix critiques envers les narratifs officiels. Cette pratique, loin d’être anodine, suggère une instrumentalisation au service d’une agenda spécifique, où le label « désinformation » devient une arme pour discréditer plutôt qu’un outil de vérité.
Une défense qui sonne creux
Face à ces accusations, Conspiracy Watch a tenté de se défendre. Dans un tweet, l’organisation a qualifié les propos de Baud de « fake news » et nié toute collaboration avec les services secrets britanniques. Mais ce démenti, aussi ferme soit-il, peine à convaincre. Quand une structure refuse de faire toute la lumière sur ses financements et ses affiliations, elle laisse la porte ouverte aux doutes. Le simple fait de dépendre de subventions publiques massives, combiné à des partenariats avec des entités liées à des puissances étrangères, suffit à entacher sa crédibilité. Conspiracy Watch peut bien crier au complot, mais les faits parlent d’eux-mêmes : une organisation qui vit de l’argent de l’État et de ses alliés ne peut prétendre à une neutralité absolue.
Le fact-checking en péril
Au-delà du cas de Conspiracy Watch, c’est tout le rôle des organisations de fact-checking qui est remis en question. Ces structures, censées protéger le public de la désinformation, risquent de devenir des outils de censure et de propagande si elles tombent sous l’influence de gouvernements ou d’intérêts géopolitiques. Jacques Baud n’est pas seul à tirer la sonnette d’alarme : d’autres voix critiques ont dénoncé un réseau mondial de fact-checkers qui, sous des apparences d’objectivité, servent à étouffer les débats et à imposer une vérité officielle.
Le cas de Conspiracy Watch est symptomatique d’un problème plus large. Si ces organisations perdent la confiance du public – et elles la perdent à vitesse grand V –, elles ne feront qu’aggraver la crise de légitimité qu’elles prétendent combattre. La transparence totale sur leurs financements et leurs méthodes est une exigence minimale pour espérer restaurer une once de crédibilité. Mais à voir la posture défensive de Conspiracy Watch, on peut douter qu’un tel sursaut soit à l’horizon.
Conclusion : un agent double démasqué ?
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