Le 23 mai 2025, à 16h12, une onde de choc a traversé l’Europe. Donald Trump, président des États-Unis, a menacé d’imposer dès le 1er juin des droits de douane de 50 % sur les importations européennes, dénonçant des négociations commerciales avec l’Union européenne (UE) qu’il juge stériles.
Dans les années 1970 et 1980, une vague intellectuelle française, portée par des figures comme Bernard-Henri Lévy (BHL), André Glucksmann et Alain Finkielkraut, secoue l’Europe et traverse l’Atlantique.
En 2025, l’intelligence artificielle bouleverse la création publicitaire. D’ici 2030, cette révolution pourrait transformer les campagnes en expériences immersives et personnalisées, redéfinissant l’art de séduire. Plongée dans un futur où l’IA devient le moteur de la créativité publicitaire.
Pourquoi aucun législateur ne se penche t-il sur la concentration des principaux médias français détenus par 7 milliardaires peu sensibles à la liberté d’expression dès lors que leurs propres intérêts financiers sont en jeu ? Autrement dit, 7 milliardaires [Patrick Drahi, Xavier Niel, Vincent Bolloré, Bernard Arnault, François Pinault, Arnaud Lagardère, Serge Dassault] contrôlent 95% de la production journalistique en France. En moins d’une décennie, seulement 7 hommes sont donc venus bouleverser l’univers médiatique, sans que jamais l’opinion publique ne sourcille.
D’ailleurs ce n’est pas qu’un problème français. Cette « concentration » est devenue mondiale. La concentration des médias n’a jamais été aussi forte dans le monde, aux États-Unis par exemple, 6 groupes [GE, News Corp, Disney, Viacom, Time Warner, CBS] possèdent 90 % des médias. Ils étaient une cinquantaine de « compagnies » en 1983. Un peu comme en France donc, les GAFA [Google, Apple, Facebook et Amazon] en moins.
Aux dernières nouvelles, comme toute forme d’éthique et de morale a complétement disparue, le groupe Condé Nast, pour sortir la tête de l’eau, vient de lancer Vogue Arabia avec à sa tête la Princesse Deena Al-Juhani Abdulaziz. Pourquoi se gêner ? « La princesse, elle parle pas à toi, parce que la princesse elle paye. Et elle a envie de jouer à la rédactrice en chef. Donc poses pas trop de questions. »
Dans le même temps, Vice Media achète le magazine d’art Garage de Dasha Zhukova, la femme du milliardaire Roman Abramovich. Les termes de l’accord ne sont évidemment pas divulgués. Tel est le jeu des procédés de réclame du cirque. En ce moment, plus que jamais, nous avons besoin d’une opposition provisoire pour contrer, avant qu’il ne soit trop tard, les superstructures médiatiques.
Comme l’a pensé très justement Guy Debord, il y a un demi-siècle : « l’idéologie dominante organise la banalisation des découvertes subversives, et les diffuse largement après stérilisation. Elle réussit même à se servir des individus subversifs : morts, par le truquage de leurs œuvres ; vivants, grâce à la confusion idéologiques d’ensemble, en les droguant avec une mystique dont elle tient commerce. Une des contradictions de la bourgeoisie, dans sa phase de liquidation, se trouve être ainsi de respecter le principe de la création intellectuelle et artistique, de s’opposer d’emblée à ces créations, puis d’en faire usage. […] Ce qui change notre manière de voir les rues est plus important que ce qui change notre manière de voir la peinture. […] Il ne s’agit pas de savoir si ceci vous intéresse, mais si vous pouvez vous-mêmes vous rendre intéressants dans les nouvelles conditions de la création culturelle. Votre rôle, intellectuels et artistes révolutionnaires, n’est pas de crier que la liberté est insultée quand nous refusons de marcher avec les ennemis de la liberté. Vous n’avez pas à imiter les esthètes bourgeois, qui essaient de tout ramener au déjà fait, parce que le déjà fait ne les gêne pas. »
Nous devons présenter partout une alternative révolutionnaire à la culture dominante ; coordonner toutes les recherches qui se font en ce moment sans perspective d’ensemble ; amener, par la critique et la propagande, les plus avancés des artistes et des intellectuels de tous les pays à prendre contact avec nous en vue d’une action commune [contact@apar.tv]
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.