C’est une ode à la libération de la femme. Une ode à la masturbation féminine. Dans ce qu’elle a de plus brut, presque de plus animal. L’homme derrière ce film se nomme Gigi Ben Artzi (on vous l’avez présenté l’année dernière). Il est un peu fou derrière ses lunettes de soleil avec sa barbe sale et ses cheveux longs mais arrive à mettre en scène Aliyah Galyautdinova comme personne. Les filles ne trouveront rien de misogyne ici et les garçons vont halluciner les yeux fixes devant leur écran, un peu silencieux, avant de s’exclamer, « ah ouais putain, quand même ! »