Le musicien Son Lux a passé commande d’un clip à David Terry Fine qui s’est empressé de servir une vidéo somptueuse.
Somptueuse mais surtout surprenante puisqu’il y traite de bondage, une pratique qui, dans la réalité, est tout sauf esthétique. Mais devant la caméra du réalisateur, elle devient un passion retenue dont la puissance des images est contrebalancée par l’âge des protagonistes.
Avec la vidéo du Musée d’Orsay pour son exposition sur le sadisme ou le livre de Michel Onfray sur le même thème, on se demande si une forte tendance à l’érotisme violenté n’est pas en train de s’imposer.