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Emma Allen s’offre un petit délire en timelapse en se mettant elle-même en scène, devant son propre appareil photo et avec son propre maquillage, pour symboliser tout le trajet d’une âme d’une existence à une autre. Certes, quelques adeptes des spiritualités de l’Est nous dirons que le film ne rend pas toutes les étapes et les difficultés à traverser le bardo, mais c’est de l’art et l’art peut tout se permettre, même le blasphème.
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