Le réalisateur argentin, Juan Pablo Zaramella, signe un court métrage allégorique, dont la poésie est intelligemment renforcée par l’utilisation du stop motion.
Dans un monde prisonnier de la lumière, un homme tente de s’en échapper. Si comme le veut l’Histoire, la lumière est symbole de liberté, alors avec pertinence Luminaris nous rappelle qu’une liberté identique pour tous est une aliénation. Ou comme le disait Boris Vian, « Ce qui m’intéresse, ce n’est pas le bonheur de tous les hommes, c’est le bonheur de chacun. »