Ce premier film, ci-dessus, fait partie d’un projet visant à adapter le roman Moby Dick. un projet ambitieux que James Slater met en images en utilisant le film, réaliste ou hollywoodien, l’animation, le dessin, la stop motion, tout ce qui peut servir l’imagination.
Le second film, ci-après, a été réalisé en embarquant la caméra à l’arrière d’une voiture et en tournant autour du danseur Mark Owen.
Un hommage à Bollywood pour le clip de White Lies. Le 16mm pour Temi Dollface.
L’Anglais installé à Berlin ne se refuse rien, ou plutôt, il ne refuse rien à la création. Tout ce qui peut servir le propos, l’image, l’histoire, la musique, James Slater l’utilise. Il suffit de lire ses propres commentaires sur ses vidéos. « J’ai tout aimé sur cette vidéo« , « on s’est éclaté », « là, on s’est bien marré ».
James Slater s’amuse. Tente. Expérimente. Et réussi, preuve du talent.
Ne pouvoir être que soi-même, quel manque de talent.