En moyenne, 11 films sortent chaque mercredi en France. Si la pauvreté de certaines semaines fait passer la programmation de TF1 pour des sommets de cinéphilie, nous sommes cette fois-ci gâtés. Entre des vampires qui n’en finissent pas de ne pas mourir, un prix d’interprétation à Cannes, un probablement génial Assayas, nous choisissons Le Capital de Costa Gavras.
Pourquoi ?
Parce que le pitch : la résistible ascension d’un valet de banque dans le monde féroce du Capital.
Parce que Costa Gavras avait formidablement décrit la pulsion de mort ancrée dans le Libéralisme dans Le Couperet (2005). José Garcia y gagnait ses lettres de noblesse dramatique. La dramaturgie et le premier degré conviendront-ils à Gad Elmaleh ?
Parce que Gabriel Byrne est rare et qu’il est l’un des plus brillants acteurs américains.
Parce qu’on est subjectif et plein d’espoirs.
Parce que Costa Gavras ose la référence à Karl Marx.
Parce que Céline Sallette…
Maxime du Blog du Cinéma.