La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
48h. C’est le temps qu’a duré l’exposition consacrée à Christian Marclay au Centre Pompidou en septembre dernier. Si vous aviez malheureusement un diner prévu chez vos parents lors de ce week-end, nous allons tenter ici de rattraper le manque. Parce qu’il ne faut pas passer à côté de Christian Marclay.
Officiellement, Christian Marclay est musicien et plasticien. Mais sa musique est une œuvre d’art contemporain en soi et ses créations plasticiennes sont souvent des morceaux de musique. En fait, les définitions et les frontières, c’est pas son truc à Christian. Au contraire, il déforme, casse, reforme, plie, tord, rapièce, malaxe, détourne tout ce qui lui tombe sur la main. Ou comme l’aurait dit Blier « je dynamite, je disperse, je ventile« .
Christian Marcaly est né en 1955 en Californie. C’est cette même année que Marcel Duchamp se fait naturaliser américain. Aucun rapport bien sur, mais la coïncidence se souligne tant la démarche de l’un ressemble à celle du maître.
Dans son œuvre Clock, certainement la plus célèbre, Christian Marclay projette une vidéo de 24h faite de scènes de différents films, qui ont pour particularité de toujours faire apparaître une horloge ou une montre. Une œuvre qui vit avec vous, à la même heure, précisément. Une œuvre qui questionne notre rapport au temps de façon tellement intime que nous ne tenterons aucune interprétation ici. On vous glisse un extrait ci-dessous à 12h04.
Et puis il y a la musique. Ou plutôt le son, le bruit. Celui que personne ne veut entendre, celui que la technologie tend à effacer. Ça c’est la came de Christian Marclay. Regardez plutôt comment il se plait à jouer avec l’objet vinyle pour en tirer de nouvelles sonorités.
Très punk, très rock, presque anarchiste dans sa démarche. Christian Marclay.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.