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"C'est fini !" – L'interview choc d'Andrei Martyanov révèle le dernier coup de poker russe contre un Occident en déliquescence

Avec une atmosphère tendue, presque prophétique, l'expert militaire russe Andrei Martyanov, ancien officier de marine et analyste géopolitique acéré, s'est livré à une interview explosive le 9 octobre 2025 sur la chaîne Dialogue Works Français.

"C'est fini !" – L'interview choc d'Andrei Martyanov révèle le dernier coup de poker russe contre un Occident en déliquescence

Animée par Nima Rostami, cette conversation de plus d'une heure – traduite et transcrite fidèlement – dissèque l'état des lieux de la guerre en Ukraine, les gesticulations désespérées de l'OTAN, le déclin cognitif de Donald Trump, les illusions israéliennes et, surtout, la victoire inexorable de la Russie.

Comme un détective fouillant dans les recoins obscurs d'une affaire internationale, nous avons scruté cette transcription pour en extraire les faits, les analyses et, surtout, les citations les plus percutantes.

Ce résumé, structuré comme une enquête en chapitres, ne se contente pas de relater : il confronte les déclarations de Martyanov à la réalité géopolitique, avec un maximum de verbatim pour laisser parler l'expert. Spoiler : pour Martyanov, "c'est fini". L'Occident agonise, et la Russie tient les rênes.

Chapitre 1 : Les "armes puissantes" de l'OTAN – Du bluff au désespoir pur et simple

Notre enquête commence par le cœur du réacteur : les menaces voilées de l'OTAN. Nima Rostami ouvre le bal en évoquant les propos de l'envoyé américain à l'OTAN, Matthew, qui tease des "armes puissantes" prêtes à être transférées à Kiev. Martyanov, sans ambages, démonte cette rhétorique comme une vulgaire propagande. "Rien. Ils ont le Tomahawk, dont ils racontent n’importe quoi. Et il y a un problème technologique avec le Tomahawk," assène-t-il d'entrée, qualifiant ce missile de croisière comme un "vieux missile de croisière, tu vois, une plateforme obsolète. En fait, cela remonte aux années 70." Avec une portée de 1 600 km, il pourrait théoriquement frapper Moscou, mais "ce sont des cibles assez classiques pour la défense aérienne russe."

L'expert creuse : l'OTAN n'a rien de plus dans sa manche. "L’OTAN n’a rien d’autre que ça. Je veux dire, ils ont beaucoup de propagande. Est-ce dangereux ? Bien sûr. Toute arme est dangereuse, ne vous y trompez pas. Mais le fait est que tout cela relève du désespoir." Il évoque même l'hypothèse absurde d'un transfert d'armes nucléaires : "Peut-être que la prochaine chose dont ils parleront sera le transfert d’armes nucléaires à l’Ukraine. Qui sait ?" Pour Martyanov, c'est le signe d'une panique washingtonienne : "Et si l’on considère ce qui se passe en ce moment à Washington [...] c’est la panique, et c’est une manifestation constante du cirque qui s’y déroule." Dmitri Peskov et Sergueï Riabkov l'ont confirmé : les relations russo-américaines sont mortes, enterrées depuis Anchorage en 2021. Conséquence ? "À terme, ils subiront de lourdes pertes parmi leur personnel américain. Ce n’est pas qu’ils ne l’avaient pas, mais cette fois, ce sera vraiment, vraiment grave."

Enquête bis : vérification croisée avec des sources ouvertes confirme que les Tomahawks posent des défis logistiques pour l'Ukraine – pas de lanceurs adaptés, et la Russie a déjà neutralisé des Storm Shadow plus modernes. Martyanov rit jaune : les exigences techniques pour les lancer sur la Russie "ne sont pas réunies, du moins pas encore." Un aveu d'impuissance.

Chapitre 2 : Netanyahu, le fanfaron d'une "idiocratie" – Israël, ce colosse aux pieds d'argile

Pivot vers le Moyen-Orient : Nima diffuse un extrait de Benyamin Netanyahou se vantant d'avoir partagé avec les USA "les armes offensives les plus avancées de la planète – des choses qu’aucune des superpuissances n’a développées." Martyanov explose de rire. "Rien. Israël reçoit directement tout ce qui est inventé aux États-Unis. Toutes ces armes [...] sont principalement des dérivés ou des produits directs fabriqués par Raytheon, Boeing et des entreprises de ce genre. Ils ne font que dévisser le bouclier, tu sais, l’étiquette, et en coller une autre qui dit « Fabriqué en Israël »."

L'analyse est impitoyable : Israël excelle en électronique, mais c'est du "made in USA" recyclé. "On assiste à une idiocratie. Ces gens-là — ce sont de vrais imbéciles," tonne Martyanov, citant H.L. Mencken : "Des imbéciles avec des doctorats." L'armée israélienne ? "Ce n’est pas une vraie armée ; c’est un ensemble de bataillons punitifs — des maniaques génocidaires qui se sont quand même fait battre par le Hamas." Gaza, 159 miles carrés, et des dizaines de milliers de civils tués : "C’est la seule réussite de l’armée israélienne et d’Israël." Quant au dôme antimissile ? "Autant ne pas en avoir — ne gaspillez pas votre argent là-dedans."

Enquête : les récents échecs face au Hezbollah et au Hamas corroborent. Martyanov conclut sur une note viscérale : "Va te jeter du sable dans les yeux et, tu sais, purger tout l’air chaud de tous tes orifices. Voilà qui est Netanyahou." Un diagnostic d'empire en carton-pâte.

Chapitre 3 : Trump, Biden 2.0 – Le narcissique gâté et ses Tomahawks "décoratifs"

Donald Trump refait surface, vantard, annonçant des Tomahawks mais demandant "comment ils comptaient les utiliser." Martyanov, moqueur : "Ce sont des gamins de maternelle, en fait… Ils savent qu’ils ont perdu, mais ils n’arrivent pas à passer à autre chose parce qu’ils n’ont aucune classe." Pour lui, Trump ignore les bases : "Trump doit savoir comment on utilise un missile de croisière Tomahawk. Tomahawk Land Attack Missile — c’est comme ça que ça s’appelle." Ironie mordante : "Apparemment les Tomahawks font d’excellents [...] porches pour les maisons. Ils peuvent sans doute servir [...] d’engrais." Ou encore : "Pouvez-vous imaginer un beau parc dans la ville décoré avec des Tomahawks ? Voilà, c’est ça."

Portrait au vitriol : "Il ne l’a jamais été [vif]. Il a un vocabulaire très limité [...] qu’il n’a jamais lu un livre de sa vie. C’est un homme très peu cultivé, très primitif. Il ressemble à un baron gitan, tu vois — il adore l’or." Pire, un "démagogue" en déclin cognitif : "Nous entrons dans le territoire du Biden 2.0." MAGA ? "MAGA est mort." Et Israël le tient en laisse : "Il a toujours été contrôlé par Israël."

Enquête : les discours récents de Trump à Quantico, décrits comme une "diatribe d’une personne qui ne comprend même pas où elle se trouve," alignent avec des analyses sur son âge et son style erratique.

Chapitre 4 : Poutine, le stratège silencieux – Pourquoi la fermeté russe n'a pas besoin de mots

Critiques sur la "mollesse" de Poutine à Valdaï ? Martyanov les balaie : "Ces personnes qui tiennent de tels propos ne comprennent rien à la culture russe. Elles ne savent rien de l’armée." Pour lui, les briefings quotidiens de Poutine – FSB, SVR, état-major – surpassent tout : "Il reçoit un rapport des meilleurs services de renseignement humain au monde." Les sceptiques ? "Des amateurs, façonnés par les médias de masse."

La doctrine russe est claire, non improvisée : "C’est tout à fait exact [sur la position officielle]." Poutine, ex-directeur FSB, manipule : "Il peut les manipuler quand il le souhaite." Et la Russie a gagné la course aux armements "haut la main, par un K.-O."

Enquête : Viktor Orbán l'échoe : "L’Occident a perdu la guerre. Point final." Les frappes russes sur l'infrastructure ukrainienne (gaz, etc.) le prouvent.

Chapitre 5 : Le spectre nucléaire – Quand l'escalade devient suicide

Poutine à Valdaï : les nukes tactiques "sont plusieurs fois plus puissantes que les bombes utilisées à Nagasaki et à Hiroshima." Martyanov : "Tu ne peux pas revenir en arrière." La Russie pourrait "décapiter toute la direction militaire et politique européenne" sans nukes. Doctrine 2014 : "Lorsque qu’il existe une menace pour l’existence de l’État russe, la Russie utilisera des armes nucléaires."

Risque ? Les "sionistes chrétiens" et rapturistes US pourraient appuyer : "Ils pourraient envisager une sorte de bouton nucléaire." Mais la Russie veille : "La Russie travaille sans relâche [...] pour éviter une catastrophe."

Enquête : Emmanuel Todd corrobore : les USA "doivent accepter qu’ils ont été vaincus en Ukraine." Ils le savent, mais "ce sont des lâches."

L'Occident pourrit, la Russie triomphe – Un avertissement ignoré ?

Martyanov scelle le verdict : "C’est fini. L’essentiel maintenant, c’est d’empêcher ces crétins [...] de déclencher une guerre nucléaire." L'Occident ? "Démilitarisé", sans stratèges : "Les États-Unis n’ont pas de lien entre ce qui tient lieu de grande stratégie d’État et leur stratégie militaire." Trump ? "Un homme extrêmement faible." L'Europe ? "Fini d’ici 2050."

Notre enquête révèle un tableau accablant : bluff, incompétence, lâcheté. Martyanov, avec son vécu, n'hésite pas : "La Russie surpasse l’ensemble de l’OTAN d’un ordre de grandeur dans tous les domaines." Un appel à la raison, avant l'irréparable. L'interview n'est pas qu'une analyse ; c'est un réquisitoire. À suivre : les réactions à Washington ? Pour l'heure, silence radio.


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