La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Nous vous avions annoncé la sorti de ce film dès le début d’année. Et pour cause, la sortie d’un film de Wes Anderson est un petit événement pour les fans de cinéma, de poésie, de photo, de contes, de mise en scène et de Bill Murray. Et puis, ce film, c’est celui des grandes premières pour le réalisateur américain. Première à Cannes et première séance du festival avec une projection en ouverture.
Wes Anderson débute par des études de philosophie. Mais l’événement marquant de son début de carrière, celui qui déterminera tout son avenir, c’est la rencontre avec les frères Owen. Andrew, Luke et Owen. Ils se lancent ensemble dans le cinéma. Ils tournent toujours ensemble aujourd’hui. Owen a d’ailleurs coécrit plusieurs scnéarii de Wes Anderson. Le réalisateur décide de ne pas intégrer d’école de cinéma, et se déclare autodidacte (autoproclamer autodidacte, un comble tout de même) et tourne un court métrage, Bottle Rocket qui deviendra son premier long.
Ensuite, les quatre mousquetaires (car, oui, Wes ne se sépare jamais de la fratrie Anderson) enchaîne le parcours parfait. D’abord Rushmore en 1998, repéré par les critiques et les amateurs de ciné indépendant. Puis La Famille Tenenbaum au casting impressionnant et au retentissement international. La Vie Aquatique, A Bord du Darjeeling Limited (précédé dans les salles par le superbe court métrage Hôtel Chevalier qu’il réalise lui-même avec Jason Schwartzman et Natalie Portman), Fantastic Mr. Fox, que des succès et cette prouesse incroyable : apporter un succès populaire à du cinéma d’auteur. Et même plus, apporter de la poésie dans les salles obscures.
Vous l’aurez surement compris, Wes Anderson est un homme de clan. D’abord, les amis de toujours, les frères Wilson. Dans son casting, bien sur, le grand, l’immense Bill Murray. Et puis, le clan Coppola. D’abord Roman Coppola, co-scénariste de La Vie Aquatique, de A Bord du Darjeeling Limited et de Moonrise Kingdom. Il coproduit également la plupart de ces films. Et puis, il y a Jason Schwartzman (qui comme Bill Murray semble fait pour épouser l’univers de Wes Anderson), neveu de Francis Ford. Et on ne parle là que des liens professionnels.
Moonrise Kingdom relate l’histoire de la fugue amoureuse de jeunes enfants et qui va mobiliser toute la population d’une île au large de la Nouvelle-Angleterre. Un film qui réunit un casting incroyable. Évidemment, Bill Murray, mais aussi Bruce Willis, Edward Norton, la grande Frances McDormand, Tilda Swinton, Jason Schwartzman, et les deux révélations, les deux enfants, sans la moindre expérience ciné, Jared Gilman et Kara Hayward.
Il paraît assez inimaginable de voir Wes Anderson quitter la croisette sans prix.
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