La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
« Je vois mon travail comme une collision et une recombinaison d’idées. Je suis un processus graduel et spontané, utilisant des séquences, des archives ou simplement des visuels trouvés sur internet. Je combine, altère, produit et rassemble en utilisant des technologies digitales. » Bref, Bill Domonkos joue avec les images. Mais il joue comme un enfant mélancolique. N’utilisant que du noir et blanc, des visages émaciés et des regards perdus. Usant de titres tels que Dying is Fun, Sisyphus ou Nocturne. Il est comme l’enfant qui joue près de la fenêtre, dans son costume noir, à l’enterrement de sa mère. La nostalgie qui nappe le font de l’internet est partout, mais toujours cachée. Cachée sous la débilité et l’éphémère. Le ramassis d’images sans sens que nous regardons chaque jour. Cliquant toujours plus aisément sur un lien intitulé « Julien bifle Frédérique » que « l’évanescence de la sentimentalité enfin expliquée ». Une façon de remplir la vacance d’une existence trop longue pour ne pas laisser de vide, mais trop courte pour se prendre la tête. Mais derrière toute notre fuite en avant, nous gardons pudiquement notre mélancolie et elle se dépose dans le web comme un limon paresseux. Bill Domonkos est là pour la drainer.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.