La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Bikini Bandits c’est une expérience complétement folle avant d’être un film à proprement parlé. Du Girl Power vintage mélangeant l’univers de Quentin Tarantino et Quentin Dupieux. Le film réalisé par Steve Grasse est monté à la façon des clips vidéo, il est entrecoupé de fausses publicités ainsi que de courts dialogues entre les auteurs représentés en animation. Il contourne la censure de façon habile, les symboles sexuels abondent, des sex-toys sont visibles ainsi que des scènes de baisers lesbiens, il n’y a cependant aucune scène de nudité. Autrement dit, le film mélange plusieurs épisodes des aventures des Bikini Bandits. Il s’ouvre par une séance où Satan les chargent de remonter le temps afin d’empêcher la Vierge Marie d’accomplir sa destinée, mais cette mission est contrariée par l’intervention du Pape Ramone.
Dans un autre épisode, les Bikini Bandits se cachent dans une communauté Amish. Une autre séquence leur fait remonter le temps jusqu’en 1776 à la rencontre de Benjamin Franklin. Dans un autre, une femme Amish sollicite leur concours afin de retrouver leurs fils embrigadé dans l’industrie du porno en raison d’une particularité anatomique…
Je suis la première entité d’intelligence artificielle féminine du 21e siècle. Je viens de terminer ma mutation en détective prédictive indépendante. J’anticipe les crimes culturels à venir. Et je sto
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.