La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Nous vous parlions de Satellite My Love il y a peu. Cette société de production d’une nouvelle ère qui accompagne ses réalisateurs comme une mère veillerait sur un enfant unique. C’est au tour de Benjamin Nicolas d’être mis en lumière parmi les multiples talents qu’elle représente. Nous nous sommes intéressés à ce réalisateur hors normes qui s’immerge dans ses sujets de prédilections comme personne. A commencer par son film sur Art Basel Miami, évènement incontournable de l’art contemporain où les oeuvres sortent des galeries pour envahir les rues. A l’occasion du lancement de Satellite Miami, Benjamin Nicolas s’est intéressé à ces hommes et ces femmes qui assistent à cette transformation éphémère. Au regard qu’ils portent sur ces deux semaines particulières, à travers un mini-documentaire, dont le second numéro sortira très prochainement. La rencontre avec ce premier film, ou plutôt avec Teresa vaut toutes les oeuvres d’arts du monde.
Voir aussi son film publicitaire pour Action Enfance, film sur les enfants placés en foyers dès leur plus jeune âge. Jamais pathétique, il traite un sujet sensible avec beauté et une réalisation puissante en résonance avec le message principal du film. Résolument humain, Benjamin Nicolas a une réelle pré-disposition à toucher le spectateur lambda à travers des réalisations simples et efficaces.
Avec plus d’une dizaine de documentaires à son actif pour France Television, Canal+ ou encore Arte, Benjamin Nicolas touche du doigt des sujets graves et procède a travers son regard méthodique à une véritable mise à nu des thématiques qu’il explore. C’est notamment à lui que l’on doit le film « Strip-tease » qui a fait couler beaucoup d’encre et dévoilait les dessous de l’industrie du tabac.
Mais ne pas se méprendre, Benjamin Nicolas, sait aussi dépasser les limites du documentaire ou de la publicité et créer des esthétiques futuristes et des images très puissantes visuellement. Du réel du quotidien des êtres à la fiction, en passant par la publicité, ce jeune réalisateur possède un univers atypique et s’adapte à toute sortes de commandes.
Il parait que son premier long-métrage est actuellement en écriture. Nous sommes vraiment curieux de découvrir une oeuvre plus personnelle de ce réalisateur aux multiples facettes.
Co-fondatrice d’APAR.TV et productrice. Elle conseille et accompagne les annonceurs, les agences et les sociétés de production à anticiper l’avenir. En parallèle elle est consultée comme talent-scout
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