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En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Un mini-Centre Pompidou mobile, démontable et transportable est en cours de création.
Le Centre Pompidou vient de présenter son projet de mini-musée nomade destiné à faire découvrir l’art moderne à des publics nouveaux, qu’il espère lancer début 2011.
Sur 1,000 m2 un espace d’accueil et d’exposition permettant la présentation de dix à quinze œuvres des collections du musée d’art moderne.
C’est l’architecte Patrick Bouchain qui a imaginé les différents modules comme un « cirque ambulant ». L’architecte, à qui l’on doit la réhabilitation de la Condition publique à Roubaix, a conçu plusieurs modules de couleurs, adaptables selon le lieu, et surtout, économiques.
Il veut faire du projet un bâtiment « joyeux », « atypique » , « polymorphe » , « comme un campement de fête foraine » .
« C’est un objet architectural inédit qui répond à un impératif d’innovation culturelle » a déclaré Alain Seban, le président du Centre Pompidou.
Il dévoile que « cette structure transportable et itinérante collaborera étroitement avec le Centre Pompidou de Metz qui a le soutien des nouveaux responsables politiques locaux. Il s’agit d’étendre son action artistique et d’irriguer des zones mal desservies par la décentralisation culturelle, territoires enclavés ou quartiers défavorisés. Si le Centre de Metz ouvre fin 2009, nous entrerons en action en 2010. Sous quelle forme ? De l’objet architectural spectaculaire, dessiné par Zaha Hadid pour Mobile Art de Chanel, au chapiteau de cirque mis aux normes muséographiques, la question n’est pas tranchée. A priori l’esprit du projet n’est pas celui d’un objet architectural luxueux ».
L’idée est d’installer le Centre Pompidou mobile durant un an dans une région, dans trois lieux différents. Les collectivités locales qui accueilleront la structure devront payer. « Chaque étape coûtera 300 000 euros », précise M. Seban.
A ce tarif, Beaubourg se doit de proposer « des oeuvres majeures », assure Alain Seban. Les premiers tableaux, dévoilés par la conservatrice Emma Lavigne, en charge de la première exposition, sont prometteurs. Celle-ci sera dédiée à la « couleur », un thème assez large pour y mettre ce que l’on veut. Dans l’ordre des oeuvres citées : Nature morte au magnolia (1941) de Matisse, Femme en bleu (1901) de Picasso, La Gamme jaune (1907) de Kupka, Peinture 131×162 (1956) de Soulages, Papa Gymnastique (1972) de Jean Dubuffet, Les Grands Plongeurs noirs (1944) de Fernand Léger, Deux Vols d’oiseaux, Grand Mobile (1954) de Calder, L’Estaque. Le Port de La Ciotat (1906) de Braque, le néon America America (1964) de Martial Raysse, etc.
Ce musée ambulant est évalué à 3 millions d’euros, et le Conseil de la création artistique de Marin Karmitz participera à hauteur de 500 000 euros. L’installation et le fonctionnement seront financés par les collectivités territoriales et des mécènes privés. A suivre avec attention.
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