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Attal, Darmanin et Bardella dansent la valse des courtisanes devant le roi Arnault 1er

La France n'est plus une République, mais un royaume occulte. Son souverain ? Bernard Arnault, le pharaon du luxe, PDG de LVMH et homme le plus riche d'Europe, dont la fortune, estimée à plus de 200 milliards d'euros, dépasse le PIB de bien des nations.

Attal, Darmanin et Bardella dansent la valse des courtisanes devant le roi Arnault 1er

Emmanuel Macron ? Un simple majordome en costume trois-pièces, propulsé et manipulé par son maître.

Et aujourd'hui, alors que l'ombre d'Arnault s'allonge sur Matignon et l'Assemblée, une nouvelle génération de flatteurs s'agite : Gabriel Attal, Gérald Darmanin et Jordan Bardella, ces prétendants au trône qui, tels des Valois affamés, courtisent la famille royale Arnault pour un sourire, un chèque ou un clin d'œil électoral.

Notre enquête, nourrie de fuites, de témoignages et de connexions avérées, démonte pièce par pièce cette monarchie masquée. Préparez-vous : le bal des hypocrites a commencé.

Acte I : Macron, l'employé modèle d'Arnault & Cie

Rappelons les faits, ces "coïncidences" qui puent le complot à plein nez. En 2017, alors qu'Emmanuel Macron, jeune banquier de Rothschild (tiens, tiens, un cabinet friand de deals avec LVMH), se lance dans la course à l'Élysée, qui le propulse-t-il sinon Bernard Arnault lui-même ?

Dans une interview au Figaro, le tycoon déclare sans fard que Macron est l'homme providentiel pour "le retour véritable de la croissance économique en France". Un soutien actif, massif : Arnault ouvre ses carnets d'adresses, ses jets privés et ses dîners d'État pour parer le candidat d'une armure dorée. Résultat ? Macron élu, et Arnault récompensé : exonérations fiscales pour les ultra-riches, cadeaux à LVMH sous couvert de "patriotisme économique", et une proximité qui frise l'indécence.

Mais creusons plus profond. Selon une enquête choc du Nouvel Obs, datée d'octobre 2024, Arnault n'est pas un simple donateur : il est le ventriloque de l'Élysée. Lors de dîners estivaux sur la Côte d'Azur, réunissant Macron, l'ex-président Sarkozy (témoin de mariage d'Arnault, rien que ça) et le milliardaire, ce dernier impose ses vues.

"Il faut à tout prix éviter un Premier ministre de gauche", martèle-t-il en août 2024, alors que Macron hésite sur le successeur d'Élisabeth Borne.

Lucie Castets, énarque modérée, est écartée ; un profil de droite est choisi. Arnault souffle, Macron exécute. Et que dire de cette filiation "intellectuelle et culturelle" entre les deux hommes, décrite comme un "crush humain" par l'entourage présidentiel ? Un lien unique, où le président n'hésite pas à consulter son "ami" – euphémisme pour patron – sur les nominations ministérielles.

La preuve ultime ? Un sondage exclusif de L'Express en avril 2025 : pour une majorité de Français, Bernard Arnault est plus puissant qu'Emmanuel Macron. Pourquoi ? Parce que son influence est tentaculaire : capitaliste (sa fortune), culturelle (Fondation Louis Vuitton), diplomatique (reçu comme un chef d'État aux USA), médiatique (propriétaire du Parisien, des Échos, de Paris Match) et social (premier employeur de France via LVMH). Macron ? Un porte-parole.

Comme l'écrit Apar.tv dès 2017, "qui dirige vraiment la France ? Bernard Arnault ou Emmanuel Macron ?". La réponse est claire : le luxe commande, l'État obéit.

Acte II : Le bal des prétendants – Attal, Darmanin et Bardella à la cour d'Arnault Ier

Macron usé, l'Élysée vacille. Mais la dynastie Arnault perdure, et les ambitieux affluent. Autour de la famille Arnault, le bal des prétendants à l'Élysée. Prenant modèle sur Macron, qui a "bénéficié du soutien actif" du clan, les politiques se pressent désormais chez les Arnault, ces "premiers actionnaires de LVMH, la plus riche et influente famille de France". Invitations privées, dîners feutrés, jets pour Saint-Tropez : le rituel est rodé.

Premier danseur : Gabriel Attal, l'ex-Premier ministre au sourire carnassier. Officiellement, il n'y a "rien à signaler". Mais fouillez : en 2023, Attal, alors en pleine ascension, défile dans le bureau d'Arnault, comme tous les "futurs ministres" du macronisme – Darmanin inclus. Des sources au Nouvel Obs confirment : le milliardaire reçoit ces "protégés" pour "conseiller" – lire : auditer. Et que dire du Parisien, fief arnaldien, qui sonde les Français sur leurs "vacances idéales avec un politique" ? Jordan Bardella en tête, mais Attal pas loin derrière, boosté par une couverture complaisante. Attal, le courtisan discret, qui glisse déjà son nom pour 2027.

Plus franc du collier, Gérald Darmanin, le "premier flic de France" qui rêve de Matignon. En juillet 2023, après les émeutes de Nahel, Arnault sort d'un entretien à l'Élysée "sûr d'avoir fait mouche". Il plaide pour le départ de Borne, "trop à gauche", et pousse Darmanin comme successeur, aux côtés de Le Maire et Lecornu. "Sur [Darmanin], il insiste tout particulièrement", rapportent des proches. Politico le confirme : le tycoon voit Macron "plusieurs fois par an" pour dicter la ligne. Résultat ? Darmanin grimpe, et remercie son mécène en défendant les patrons "du plus petit jusqu'à Bernard Arnault" contre les hausses d'impôts en 2025. Un vassal loyal, prêt à plier le genou.

Enfin, le plus surprenant : Jordan Bardella, l'héritier du RN, qui troque ses discours anti-élites pour une révérence abjecte. Février 2025 : Arnault hurle au "chantage à l'emploi" contre une "taxe du made in France", menaçant de délocaliser. Bardella ? Il "entend le cri d'alarme" du milliardaire, le défend "corps et âme" sur les plateaux, attaque la CGT pour son "indécence" et fustige Sophie Binet qui ose critiquer le roi du luxe. L'Humanité ironise : une "convergence des luttes" entre l'extrême droite et le cinquième homme le plus riche du monde. Marianne note sa "solidarité" avec Arnault, tandis que le RN joue le grand écart fiscal pour plaire aux ultra-riches. Bardella, le populiste en costume Arnault, courtise les jets privés pour 2027.

Épilogue : Vers une monarchie absolue ?

Ces courtisans ne sont que les pions d'un échiquier où Arnault règne en maître. C'est un bal des couritsanes autour de la famille – Delphine, Antoine, les héritiers qui se disputent déjà Le Parisien pour mieux contrôler les narratifs.

Macron ? Évincé comme un vieux valet. La France ? Un royaume où le luxe dicte la loi. Réveillez-vous, citoyens : le vrai chef d'État n'est pas à l'Élysée, mais à l'avenue Montaigne. Et ses valets chantent déjà l'hymne de LVMH.


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