Vadim Stein a d’abord reçu une formation en sculpture. Aujourd’hui que l’Ukrainien de 46 ans s’est mis à la photo, il pense les corps comme des statues. Jeu d’ombre, muscles bandés, nus, corps théâtralisés, regarder ses collections revient à déambuler dans les salles des statues du Louvre.
Comme une chorégraphie figée, tout à la fois gracieuse et puissante. Un corps à la fois ramené à sa simple biologie et à la fois transcendé.
« Pour moi, l’amour et la mort sont révélés par l’esthétique, la beauté précède l’éthique. »