Le galeriste Emmanuel Perrotin sait capter l’air du temps. Il enchaine donc les bons coup éditoriaux dans son espace d’exposition à Paris. Après l’exposition GIRL l’année dernière du chanteur-copieur Pharrell Williams, c’est au tour du photographe-provocateur Terry Richardson d’exposer son « art ».
La série exposée s’intitule « The sacred and the profane » et dénonce (gentiment) l’obsession du sexe emmêlé à la crainte de dieu de l’Américain moyen d’aujourd’hui.
A nos yeux, un poil racoleur, mais utile pour ramener la jeunesse dans les galeries d’art, dommage qu’il faille maintenant à chaque fois sélectionner des noms d’artistes qui ressemblent plus à des marques de mode mondiales qu’à des visionnaires qui cassent les codes établis…