Avec les mots d’Alain Souchon tout est poétique, mais avec l’objectif de Richard Kern, on retrouve le côté cru et légèrement pervers du matage sous jupe. Mais quand les filles sont de toute évidence consentantes comme c’est le cas ici, on se retrouve avec 2 minutes de sensualité enfantine. Avec cette caméra basse, à hauteur d’enfant, c’est tout l’inconscient de la sexualité en éveil qui se retrouve sur la pellicule. Ou alors, est-ce qu’on ne parle que pour nous ?