Dans le petit monde feutré de la tech française, où les start-ups fleurissent sous l’aile des milliardaires bien-pensants, un scandale vient d’éclater. Et comme par hasard, il est accueilli par un silence de plomb.
Imaginez la scène : un salon feutré du restaurant Laperouse, ce bastion de l'opulence parisienne niché sur la rive gauche de la Seine, où les lustres en cristal diffusent une lumière tamisée sur des nappes amidonnées et des couverts en argent massif.
638 000 dollars, des dîners annuels, une mailing-list privée avec Musk, Bezos, Brin, Page, Gates et Zuckerberg. Pendant que la décennie où il recrutait des mineures, Jeffrey Epstein était le plus gros donateur du think tank le plus prestigieux de la tech mondiale.
L’art, comme un chemin spirituel, exige toujours le dénuement pour atteindre le nirvana. Il faut épurer, simplifier, resserrer, pour toucher à l’essence. Écrire comme Louis-Ferdinand Céline qui jetait plus de pages qu’il n’en écrivait. « Écrire comme peint Cézanne » comme disait Hemingway. C’est ce chemin qu’emprunte Robert Montgomery. L’Écossais est revenu loin, très loin, jusqu’à l’incipit biblique, « au commencement était le verbe« . Il est remonté si loin dans l’inspiration, que son œuvre se nourrit désormais de tous les arts, elle s’enracine dans l’âme commune de toutes les muses. Poésie, peinture, street art, cinéma, sculpture, littérature… Robert Montgomery est tout simplement un artiste.
Comme tous les vrais artistes, Robert Montgomery est un vandale dans l’âme. En détournant les espaces publicitaires illégalement pour y inscrire ses messages à la fois poétiques et politiques, l’artiste nous empêche de flâner tranquillement. Ils imposent à nos cerveaux isolés par les ipods, à nos âmes perdues dans l’anonymat de la foule, à nos yeux fatigués par trop de sollicitations, à nos pieds somnambules des trajets quotidiens, à nos corps apeurés de l’étranger, Robert Montgomery impose à tout notre être une réflexion et une clairvoyance qui nous plonge dans l’inconfort du chemin de vérité.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Imaginez-vous enfermé dans une cellule étroite, sous l’œil constant de caméras de surveillance, sans intimité ni répit. Pour Nadya Tolokonnikova, cofondatrice du collectif punk féministe Pussy Riot, ce n’est pas une simple imagination, mais une réalité qu’elle a choisi de revivre volontairement.
Emmanuel Perrotin, figure emblématique du monde de l'art contemporain, a récemment conclu une transaction historique avec Colony Investment Management (Colony IM), un fonds d'investissement européen, en cédant une participation majoritaire de sa célèbre galerie.
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