Les pointes des danseuses d’opéra. Sujets de tous les fantasmes et de toutes les souffrances pour un summum de grâce du corps humain.
Un fantasme que Javier Pérez a poussé à son paroxysme en faisant danser Amélie Ségarra sur la pointe de couteaux, perchée sur un piano. Le réalisateur veut y voir une métaphore de la condition humaine. Nous nous en tiendrons à un paradoxe visuel de grâce et de haine, de création et de destruction.