C’est en regardant le travail de Nadia Lee Cohen avec l’un de nos réalisateurs favoris, Thomas Rhazi, que nous nous disions que ses photos nous rappelaient celles de Tony Kelly. Mais Thomas nous tire par l’épaule, tel un Jiminy Cricket : « ouais, y’a du Miles Aldridge aussi. »
Normal donc de consacrer un peu de place sur notre site au Britannique.
Son travail, il n’y a pas grand chose à en dire. Dans le domaine de la mise en scène suréclairée d’un choc entre culture punk et 50’s sous le joug d’un Hopper défoncé aux acides après avoir copulé avec Alex Prager, il est certainement le meilleur.
Comme toujours, les plus grands collaborateurs de la mode et du consumérisme, en sont les plus grands détracteurs.