Il y a des artistes qui s’inspirent et d’autres qui copient. Olivia Steele fait partie de la deuxième catégorie. Celle qui se décrit comme « Conceptual Neon Artist » a, comment dire, largement oublié de souligner qu’elle avait regardé de beaucoup trop prés les œuvres de la fulgurante Tracey Emin. Si cette dernière attaquait Olivia Steele en justice, le code de la propriété intellectuelle lui donnerait sans doute raison. Mais nous ne sommes pas avocats. Loin de là. Encore moins législateurs. On se rattrape alors en pensant que Olivia Steele ne craint rien, ni personne, elle est si jolie. Et tout le monde sait qu’on ne fait jamais rien de mal à une belle fille. A part peut-être trop souvent le lui répéter.