« Je veux regarder sous la surface, écouter les mots que l’on ne prononce pas et étudier le rapport entre les gens et leur environnement. » Une approche assez intellectuelle de son travail, mais qui met de côté la grâce de ses clichés.
Kylli Sparre, dit Sparrek, a suivi le parcours classique pour devenir danseuse ballet, mais après ses études, elle réalise que ce n’est pas son destin. Son besoin de beauté et d’expression va donc trouver la photographie comme support. Mais comme tous les rêveurs, elle ressent le besoin de retoucher cette réalité qui ne la satisfait pas. Et c’est vrai que nous aussi on préfère son monde.