Il est vrai que pour illustrer la dégénérescence il suffirait de peindre Kim Kardashian, Miley Cyrus, ou encore Gigi Haddid… Mais Istvan Nyari peintre de Budapest basé à Londres, va plus loin en utilisant les codes tant chéris par ces tarés de la pop culture. Les poupées, les jouets, les signes extérieurs de richesse, tout y passe.
Son coup de pinceau assombrit les scènes, l’acrylique devient le média d’un monde kitch et sombre à la fois mais tout est assumé. Quand l’homosexualité, la violence, les fantasmes et les perversions côtoient l’enfance comme un compagnon de route pour former des images dérangeantes et troublantes.
Les peintures de Itsvan Nyari seraient-elles une sorte de miroir des cerveaux malades de la pop culture?