Alors que l'avocat controversé Juan Branco fait face à une procédure disciplinaire pouvant mener à sa radiation du barreau de Paris, un rassemblement de soutien prévu demain, le 16 juillet, devant la Maison du Barreau, suscite des tensions avec les autorités.
Dans un entretien captivant diffusé sur la chaîne Neutrality Studies Français, l’avocat, journaliste et militant Dimitri Lascaris expose avec une clarté percutante les mécanismes insidieux du « lawfare » – un terme qui désigne l’utilisation stratégique du droit comme arme de guerre.
Dans une France qui se targue de ses valeurs républicaines – Liberté, Égalité, Fraternité –, un scandale éclate au grand jour : des enseignants risquent des poursuites judiciaires pour avoir ouvert les portes des établissements scolaires à des enfants et familles sans domicile fixe (SDF).
The Stranger réalisé en 1946 est le seul film d’Orson Welles à rencontrer un succès immédiat au box-office.
La photo oppose un chasseur de nazis des Nations Unies, joué par la légende de l’âge d’or d’Hollywood Edward G. Robinson, à un criminel de guerre du Troisième Reich joué par Welles lui-même. Le chasseur traque le traqué, qui a pris une nouvelle identité presque anonyme dans la petite ville du Connecticut. L’homme de l’ONU cherche désespérément à traduire le nazi en justice, le nazi cherche désespérément à vivre sa nouvelle vie en paix et sa femme sans méfiance cherche désespérément à nier la vérité sur le passé de son mari. Afin de convaincre la dame, le personnage de Robinson projette ses images réelles des camps de concentration nazis. Le choc sur le visage de l’actrice Loretta Young était le choc sur les visages du public américain ; ni l’un ni l’autre n’avait auparavant eu beaucoup de chance de voir ce qui s’était réellement passé en Europe en temps de guerre.
Le New York Times a dévoilé le 27 juin 2025 son classement des 100 meilleurs films du 21e siècle, une initiative ambitieuse visant à célébrer les œuvres cinématographiques qui ont marqué les 25 premières années de ce millénaire.
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
Il est des cinéastes dont le talent devrait crever l’écran, transcender les frontières et secouer les âmes, mais qui, par une aberration totale, restent dans l’ombre. Shinji Sōmai, ce maître japonais, en est l’exemple criant.
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