Alors que la justice resserre son étau sur Alain Soral pour "provocation au terrorisme" lié à une propagande iranienne, son exil en Suisse, pourrait prendre fin. Un échec diplomatique avec l’Élysée et des secrets compromettants menacent de briser son image auprès de ses fidèles.
Dans un contexte de crises multiples et de désillusion politique, Juan Branco, l'avocat le plus lu de France, dévoile son projet révolutionnaire pour la France. Ce programme, élaboré avec et pour les citoyens, promet de bouleverser le paysage politique français.
Dans un monde où l’information circule à une vitesse fulgurante, un nouveau scandale vient ébranler notre confiance en ce que nous lisons. Récemment, un faux site d’information a usurpé l’identité de journalistes du prestigieux quotidien Le Monde, semant le doute et la confusion parmi les lecteurs.
Au xixe siècle, un jeune prince héritier — jamais nommé, mais identifiable comme étant l’archiduc Rodolphe, fils de François-Joseph Ier et héritier du trône austro-hongrois — se désintéresse des affaires de l’État et mène une vie frivole et dissolue dans une villa isolée. Il consacre l’essentiel de ses journées à des relations sexuelles avec sa maîtresse Mary, ainsi qu’avec sa demi-sœur et son demi-frère (enfants adultérins de l’empereur) et sa servante Thérèse. Vers la fin du film, Mary se révèle être un « hermaphrodite ». Le prince fait éconduire sans ménagement les émissaires de son père qui cherchent à le faire revenir à la cour.
Il invite à la villa les filles et les fils des familles les plus influentes de l’Empire et fait servir du champagne accompagné d’une poudre aphrodisiaque. La soirée tourne au délire alors que le prince annonce l’abdication de son père et se proclame empereur. Tandis qu’un groupe de musique folklorique hongroise joue dans le jardin, les jeunes se déshabillent et une orgie se déroule dans la villa durant la nuit entière, tandis que le prince prend des photos du spectacle. Un général, venu tenter de ramener le prince à la raison, est malmené par les convives et sodomisé par Mary.
Au petit matin, des soldats impériaux arrivent dans la villa, évacuent les invités, puis assassinent le prince et son amante, dont ils maquillent la mort en suicide et en drame passionnel.
https://vimeo.com/158525820
Miklós Jancsó peint dans « Vizi privati, pubbliche virtù » la décomposition de l’empire austro-hongrois, dans un remake obscène de Mayerling! Le scandale selon le père Jancsó, culminant dans une séquence qui montre l’archiduc Rodolphe possède par Marie Vetsera, hermaphrodite! Ce film de 1976 n’apporte pas une contribution décisive à l’analyse de l’élèment historique, et il marque dans l’oeuvre du réalisateur un recul esthétique par le renoncement aux longs plans séquences qui caractérisaient sa manière rigoureuse.
« Vizi privati, pubbliche virtù » a quelque peu surpris la critique de l’époque! La révolution de la jeunesse par le plaisir, la jouissance et le dérèglement des sens! Une transposition érotique quasi onirique de l’anecdote historique de Mayerling!
Cependant, Jancsó en a inversé les données où il instaure une sorte de « communisme sexuel » qui prend l’allure d’une véritable fête! Les jeunes gens s’èbattent à poil (et au ralenti) dans un parc fleuri, gracieux comme des personnages de Botticelli! Et rien que pour ça, « Vizi privati, pubbliche virtù » vaut le déplacement! De plus, les actrices se donnent sans compter! Mention à Laura Betti…
Artiste conceptuelle, critique d'art et historienne, Mary est célèbre pour son analyse critique du régime autonome de l'art hérité de la tradition moderniste.
Le New York Times a dévoilé le 27 juin 2025 son classement des 100 meilleurs films du 21e siècle, une initiative ambitieuse visant à célébrer les œuvres cinématographiques qui ont marqué les 25 premières années de ce millénaire.
Le 9 juin 2025, une annonce retentissante secoue l’industrie musicale : TaTa, une artiste entièrement conçue par intelligence artificielle (IA), signe avec Stage Zero, un nouveau label lancé par le légendaire producteur Timbaland.
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
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