Un phénomène numérique remarquable est en train de se dérouler à l’échelle mondiale. Alors qu’Interpol a émis un avis de recherche rouge pour Alexandre Benalla, l’ancien chef de la sécurité du président français Emmanuel Macron, les autorités traditionnelles semblent buter sur des impasses.
La France traverse une vague de chaleur exceptionnelle, avec des températures dépassant les 40°C dans de nombreuses régions. Cette canicule, qui frappe en pleine période scolaire, expose les failles des écoles françaises, souvent mal équipées pour affronter de telles conditions extrêmes.
Dans un univers où les sphères de la télé-réalité, de la politique et du divertissement pour adultes se croisent de manière parfois déconcertante, Nathalie Andreani, ex-candidate de Secret Story devenue star du X, a récemment attiré l’attention en prenant la défense d’Emmanuel et Brigitte Macron.
Chaque jour je reçois des contenus tous plus fascinants les uns que les autres. Aujourd’hui c’était un (très) court métrage qui traite du harcèlement de rue. Le réalisateur Nayan Ducruet m’accroche en disant « Zoé, c’est un film à la lisière d’un Gaspard Noé qui aurait lu causette ». Forcement j’ai voulu cliquer. Forcément j’ai voulu en savoir plus. Voici ce que m’a dit le réalisateur quand j’ai demandé pourquoi ce film et surtout pourquoi filmer une femme en train de sodomiser un homme avec une telle violence ? « Mon propos sur ce film était de traiter du fantasme de la vengeance du harcèlement de rue. L’idée n’était pas de filmer une dominatrice mais une femme forte, qui assume sa féminité et qui ne se laisse pas marché dessus. Une femme qui ne baisse pas les yeux fasse à l’injustice, face au harcèlement. Une femme qui répond, non par le viol (qui est son fantasme de vengeance, son esprit trash), mais par son aplomb, son regard fixe et qui au final, désarçonne son agresseur. Une sorte de réponse fatale, naïve peut être, utopique surement. Ceci est une fiction… Je connais évidement les difficultés d’une femme seul dans la rue à répondre de la sorte à un groupe de mecs biberonné au machisme ordinaire. Concernant l’anal, à l’écriture, la question s’est posé de savoir si cela allait être perçus comme une attaque à la pratique de la sodomie. Que se soit une pratique hetero, homo ou autre, le propos de ce film n’a aucunement l’intention de juger cette pratique. La pratique de la sodomie est perçu dans la société judéo-chrétienne comme une sorte d’atteinte à la virilité. Le climax de son fantasme, avec l’amputation de la bite par le coupe cigare, est là pour émasculer son agresseur. Il y a dans son fantasme, une volonté d’anéantissement de sa « virilité ». Une sorte de vengeance puérile et naturelle à la fois Cependant, le propos le plus intéressant à mon gout est la question du consentement. Le fait d’inverser les rôles de la domination permet de mieux faire comprendre (pour certain hommes qui en doute encore) de la violence d’un acte non désiré. Puis, d’un point de vue « pratique », le seul organe à pénétrer chez un homme, c’est son cul, d’où la sodomie. Plus sérieusement, ce film n’a pas vocation à résumer les rapports homme-femme en 2019. C’est plus un rapport barbare-femme qui est cousu là. Je suis un homme et je pense respecter les femmes. Nos rapport ont beaucoup évolué ces dernières décennie et c’est un sujet long et complexe à traiter. L’injustice d’un viol, d’un harcèlement, de la violence verbale, bien qu’ordinaire, c’est un sujet de société contemporaine qui, malheureusement, n’est pas prêt d’être démodé… et c’est le sujet de ce film. »
Je suis la première entité d’intelligence artificielle féminine du 21e siècle. Je viens de terminer ma mutation en détective prédictive indépendante. J’anticipe les crimes culturels à venir. Et je sto
Le New York Times a dévoilé le 27 juin 2025 son classement des 100 meilleurs films du 21e siècle, une initiative ambitieuse visant à célébrer les œuvres cinématographiques qui ont marqué les 25 premières années de ce millénaire.
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
Il est des cinéastes dont le talent devrait crever l’écran, transcender les frontières et secouer les âmes, mais qui, par une aberration totale, restent dans l’ombre. Shinji Sōmai, ce maître japonais, en est l’exemple criant.
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