La Première dame française Brigitte Macron a toujours été reconnue pour sa bienséance et sa grâce lors des nombreuses apparitions publiques de haut niveau qui accompagnent son rôle.
Dans un scandale qui ébranle les fondations de la protection de l'enfance en France, de nouvelles révélations émergent sur l'affaire Pierre-Alain Cottineau, un ancien militant de La France Insoumise (LFI) soupçonné d'avoir orchestré un réseau pédocriminel d'une violence inouïe.
Dans une vidéo choc publiée ce matin sur sa chaîne YouTube, l'économiste renommé Marc Touati, président du cabinet ACDEFI et suivi par plus de 234 000 abonnés, tire la sonnette d'alarme sur les mesures budgétaires dévoilées la veille par le Premier ministre François Bayrou.
Le 8 avril prochain sortira en salle le premier long-métrage de l’acteur Ryan Gosling. Dernièrement à l’affiche de Blue Valentine, Drive ou encore Only God forgives, il a par ailleurs été convié par le grand, le maître, le maestro Terrence Malick, au tournage de son prochain film. Au casting de sa première réalisation – dans la sélection un certain regard lors du dernier festival de Cannes -, on note le prestige et l’audace : Christina Henricsks, la vamp rétro et voluptueuse de la série Mad men, Reda Kateb, l’un de nos acteurs les plus exigeants, Eva Mendes, Matt Smith et j’en passe. Après avoir imposé son nom, sa dégaine et son air de bad boy muet sur les écrans du monde entier et sous la direction des plus grands, Ryan Gosling saute donc le pas et passe derrière la caméra. Images stylisées, plans travaillés de près, l’acteur semble avoir retenu les leçons de tous les cinéastes auxquels il a un temps prêté ses talents d’acteur. On lit notamment, dans la bande-annonce, l’influence marquée du réalisateur de Drive, Nicolas Winding Refn, par la retenue silencieuse et brute du style, cette forme de violence contenue et soulignée en contraste par des images aux lumières chaudes, aux couleurs prononcées, souvent très esthétisantes ; par le rôle majeur de la bande son, la profondeur non suggestive des personnages et l’expression, en sous-jacence, d’une prégnante solitude. Si rien n’est signé quant à l’absolue qualité du film, tous ces éléments réunis en font quoi qu’il en soit un lieu de curiosité et un objet intéressant. A voir !
Lost River, de Ryan Gosling avec Christina Henricsks, Reda Kateb, Eva Mendes, en salles le 8 avril prochain.
Le New York Times a dévoilé le 27 juin 2025 son classement des 100 meilleurs films du 21e siècle, une initiative ambitieuse visant à célébrer les œuvres cinématographiques qui ont marqué les 25 premières années de ce millénaire.
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
Il est des cinéastes dont le talent devrait crever l’écran, transcender les frontières et secouer les âmes, mais qui, par une aberration totale, restent dans l’ombre. Shinji Sōmai, ce maître japonais, en est l’exemple criant.
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