Alors que la guerre en Ukraine fait rage, Candace Owens détient un enregistrement où Trump supplie de taire une enquête sur Brigitte Macron, sous peine de voir la paix compromise. Des centaines de milliers de vies sont en jeu...
Un méga-contrat d’armement, un film financé par des fonds indiens et des soupçons de corruption : l’enquête sur la vente de 36 avions Rafale à l’Inde en 2016 s’intensifie, plaçant l’ancien président François Hollande et sa compagne, Julie Gayet, sous une pression croissante.
Entre punaises de lit et complots, nos élites jouent les clowns dans une tour de Babel, laissant Poutine triompher sans effort ! Tour d'horizon vertigineux.
Treize ans après sa disparition, le mythe Stanley Kubrick continue de s’étoffer. Quand on écrit sa propre légende de son vivant, on préserve forcément quelques parts d’ombre. C’est le cas du premier film du maître. Fear and Desire, écrit par son camarade de classe Howard Sackler, qui est sorti en 1953. Stanley Kubrick a tout fait pour le faire disparaître. Mais il a du oublier une copie. Celle-ci a été projetée au festival New Directors New Films. Le film, une fois restauré à grands frais, devrait sortir directement en DVD. On a tous une photo, un film, un dessin dont on a honte. Pour Stanley Kubrick, il s’agissait de ce film relatant l’histoire de cinq soldats coincés derrière les lignes ennemies dans une guerre imaginaire, avant de réaliser qu’ils se font fassent à eux-même, pour finir par s’affronter. Ce qui est bien quand on est un génie, c’est qu’on n’appelle pas ça une casserole, mais des prémices.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Le New York Times a dévoilé le 27 juin 2025 son classement des 100 meilleurs films du 21e siècle, une initiative ambitieuse visant à célébrer les œuvres cinématographiques qui ont marqué les 25 premières années de ce millénaire.
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
Il est des cinéastes dont le talent devrait crever l’écran, transcender les frontières et secouer les âmes, mais qui, par une aberration totale, restent dans l’ombre. Shinji Sōmai, ce maître japonais, en est l’exemple criant.
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