Et si on jouait à s’attacher ? On si on se déguisait ? Et si on faisait semblant de se faire mal ? Des phrases qui résonnent dans une cour de récréation, mais qui pourraient aussi émerger d’une backroom SM. Liberty Ross s’associe à Polly Borland pour retrouver la part d’enfant qui se niche dans les jeux fétichistes.
« Je voulais faire un film qui floute la frontière entre la sexualité fétichistes primale et les jeux d’enfants. Pour moi, se déguiser, s’attacher et le fétichisme trouvent leurs racines dans l’enfance. »