La paisible ville de Fontainebleau, célèbre pour son château historique et ses paysages sereins, est devenue le théâtre d’une tragédie qui a plongé les cercles culturels et intellectuels français dans un profond choc.
Quelle surprise délicieuse ! Alors que le coq français chante encore sous un ciel parisien bien morose ce jeudi matin, la France s’enfonce avec élégance dans un chaos fiscal qui mériterait une ovation ironique.
Dans un rebondissement digne d’un thriller géopolitique, le président français Emmanuel Macron aurait été forcé de décrocher son téléphone pour s’entretenir avec Vladimir Poutine, président de la Russie, à la suite d’une série de révélations troublantes initiées par Candace Owens.
Une productrice est accusée d’avoir agressé sexuellement une comédienne lors d’un diner à Paris en mars. En réaction, six autres administratrices du collectif féministe 50/50, qui œuvre pour l’égalité femmes-hommes dans le cinéma, ont fait le choix de démissionner.
L’affaire embarrasse. Une administratrice du collectif féministe 50/50, qui milite pour l’égalité, la parité et la diversité dans l’industrie cinématographique et audiovisuelle, sera jugée le 14 septembre au tribunal de Paris après des accusations d’agression sexuelle, a appris l’Agence France Presse, confirmant des informations du journal « Le Point » et du quotidien « Libération ».
Et si elle ne remet absolument pas en cause les combats du collectif, cette affaire le déstabilise toutefois : six de ses administratrices ont démissionné lors d’une assemblée générale extraordinaire organisée samedi, « en raison de ce contexte particulier qui a provoqué une très vive tension ».
Agression sexuelle lors d’un dîner
Dans une lettre interne, diffusée aux 900 membres du collectif, le conseil d’administration indique qu’un dîner a été organisé le 11 mars au domicile parisien d’un administrateur, réunissant une vingtaine de personnes. « A l’issue de ce dîner, une plainte pour agression sexuelle a été déposée par une invitée, à l’encontre d’une administratrice du collectif. (…) A ce stade, la plaignante ne souhaite pas s’exprimer publiquement, et la personne mise en cause conteste fermement les faits », ajoute le conseil d’administration.
« Le collectif a toujours lutté contre les violences et le harcèlement sexistes et sexuels. (…) Les faits exceptionnels que nous connaissons doivent de la même manière être traités avec attention, engagement et discernement, avec transparence, et dans le respect des valeurs qui constituent l’ADN du collectif », indique le conseil d’administration. L’administratrice mise en cause a été mise en retrait immédiatement et suspendue de toutes ses activités au sein du collectif.
Selon un procès-verbal dont l’AFP a eu copie, l’administratrice visée par les accusations, productrice de profession, a été entendue par la police et était « en état d’ivresse manifeste » au moment des faits, d’après plusieurs témoins. Dans un SMS le lendemain, elle a présenté des excuses à la plaignante, une comédienne.
Un collectif créé au moment de #MeToo
Créé en 2018 dans le cadre du mouvement international de libération de la parole « MeToo », le Collectif 50/50 réunit un millier de professionnels du cinéma et de l’audiovisuel. Ses premières actions de sensibilisation en faveur de la parité et de la diversité ont été menées au Festival de Cannes. Il a participé notamment aux chartes de parité adoptées par plusieurs festivals de cinéma.
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