Macron en trans(e) : panique au palais, régime en péril
Révélations choc : Emmanuel Macron affolé par les preuves d'Owens sur sa femme et un passé trouble, tandis que les médias fuient et que les rumeurs de coup d'État enflamment les réseaux.
Jérôme Bernard est un jeune réalisateur dont la multiplicité des talents nous a laissé sans voix. Il nous a semblé utile d’immortaliser ici sa « succes story » avant que d’autres ne le fassent pour nous.
Né en plein coeur de la Bretagne en 1980, Jérôme développe très jeune une passion pour la photographie et la musique. Naturellement, il fait son chemin vers la Capitale et rejoint l’Institut International de l’Image et du son, section réalisation où il obtient son Master d’Arts.
En 2011, il crée Duck Factory, véritable fabrique de films prenant en charge la production et la post production. Autour du nid, Les DUCKERS, un réseau de studios et de freelances, experts techniques et créatifs.
En 2012, Fighting Fish, du groupe Quad production, le signe en tant que Réalisateur. La même année, Jérôme sort son court métrage « Country Parasite » (Orange, Canal +, CNC) avec en vedette l’équipe du Groland.
Début 2013, Ondamax Films lui propose un contrat pour le représenter à l’étranger, USA, Amérique du Sud, et Italie. En parallèle, il sort un autre court-métrage « A peu de chose près » (Hossenny production) avec Patrick Mimoun et Dolores Chaplin.
Après le succès de ses deux courts-métrages, finalistes pour divers festivals à travers le monde, son talent n’est pas resté inaperçu. Au Festival de Cannes, la productrice Murielle Thierin lui propose un long métrage « Petit cercle entre amants » actuellement en cours de développement.
Son univers ? Des scénarios décalés, des personnages hauts en couleur, un humour noir et une réalité qui s’accompagne souvent d’une pointe d’onirisme…
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